[Livre] Nadia Origo : Entreprendre c’est faire la guerre

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J’ai mentionné ma récente découverte du dernier ouvrage de Nadia Origo Entreprendre c’est faire la guerre à l’occasion d’un article de la série anniversaire qui me permet de remonter le temps des éditions précédentes. Accessoirement reine de cœur de l’édition 2014 de la contribution digitale à la Journée Internationale de la femme africaine, Nadia Origo fondatrice de la société Origraphcom y déploie ses talents de formatrice, lorsqu’elle n’est pas occupée à diriger les éditions Doxa, où à écrire notamment, Le bal des débutants, Le voyage d’Aurore, La valse des initiés, Le tango des héritiers, Sanglotites équatoriales recueil de poésies paru le 24 septembre 2014 et enfin l’ultime ouvrage dont je me fais l’écho aujourd’hui : Entreprendre, c’est la guerre publié le 1 février 2019. Notez bien, qu’à l’exception de Le voyage d’Aurore édité par Publibook Des Écrivaines, tous les ouvrages de Nadia Origo chez La Doxa Editions. Comme dirait l’autre, on n’est jamais mieux servis que par soi-même.

Je tiens tout particulièrement à partager cet ouvrage, parce que je pressens qu’il sera utile à de nombreuses porteuses de projets, ainsi qu’à certaines entrepreneuses en chemin avec lesquelles j’échange sur les réseaux qui ne voulant se couper de potentiel.e.s client.e.s se privent d’une valeur importante pour elles. Nadia Origo a fait un choix clair dans sa communication, décision confirmée avec la publication de cet ouvrage dont la citation en exergue de la couverture est : Entre les mains de Dieu, mon entreprise est une arme.

Présentation de l’éditeur

Entreprendre c’est faire la guerre est un livre qui vient interroger l’Homme actif, principalement l’entrepreneur chrétien sur son positionnement et ses valeurs dans un monde hyper compétitif où tous les coups sont permis. Entre témoignages d’entrepreneur, ancrage dans la parole de Dieu (La Bible) et valeurs, il est question de replacer le curseur de l’identité du chrétien qui entreprend. Doit-il utiliser les mêmes armes que les autres pour se hisser au sommet ? Quelle est sa motivation principale à entreprendre ? Comment se comporte-t-il au quotidien ? Existe-t-il une limite à ne pas franchir pour rester compétitif tout en demeurant fondé sur les saintes écritures ? Ce sont autant de questionnements, suivis de quelques esquisses de réponses que le livre aborde. Il est question de guerre de la foi, de guerre de l’argent,… Ce livre envisage l’entreprise comme une arme qui, en même temps qu’elle permet de créer des richesses libératrices, peut-être un outil puissant d’aliénation qui enferme celui qui le manie mal dans un cycle destructeur d’autosatisfaction qui peut l’éloigner de son créateur : DIEU.

Pour acquérir son ouvrage  ☛ Entreprendre c’est faire la guerre 

Que pensez-vous cher.e.s lecteur.e.s adoré.e.s, de cette métaphore alliant la guerre à entrepreneuriat ? Par ailleurs, puisque la majorité des entrepreneur.e.s présentent les valeurs qui les animent, doit-on occulter ou non celles qui touchent au religieux ? Je vous espère dans les commentaires pour en parler.

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