Puisque lorsqu’on aime on ne compte pas, je continue de seriner à l’attention de ceux qui decouvrirez le blog par cet article, que l’édition 2019 marque la sixième contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine et coïncide avec le cinquième anniversaire qui me permet de remonter le fil du temps. C’est ainsi que je suis revenue sur la contribution de 2014, sur l’édition 2015 et l’édition 2016 et je vais faire de même avec l’édition 2017 dont le thème était « La transmission : ce que j’ai reçu et ce que je souhaite léguer » en tâchant de montrer ce que j’ai expérimenté et ce qui a été mis de côté.

Ainsi donc je revisite l’édition 2017 en considérant ce qui a été modifiée

° Dream Team : enthousiasmée par l’expérience de 2016, j’ai souhaité aller plus loin en introduisant des guests entrepreneuses dans la Dream Team aux côtés de deux blogueuses milléniales. J’ai maintenu le jeu des entretiens qui permet d’explorer le thème jusqu’au bout, tout en nourrissant la compilation de l’année et en ouvrant les perspectives pour les reines de cœur et les muses.

° Au masculin – la royauté : cette année a été fort riche puisque j’ai pu intronisé quatre rois (pique, trèfle, carreau et coeur) ma foi une belle brochette royale qui vaut son pesant d’or massif.

° Au masculin : les collaborateurs : j’ai eu le bonheur de pouvoir compter sur un sympathique trio de blogueurs qui a joué le jeu des entretiens avec plus ou moins de facilité avec toujours la chance d’un inédit à l’occasion du 31 juillet.

° La loterie solidaire : j’ai inauguré un programme permettant d’accompagner une entrepreneuse et une responsable associatif dans la création d’un site et par un coaching.

° Le prix Aoua Keita – Madieta : un projet d’un prix entrepreneurial féminin pour accompagner et encourager les jeunes filles qui ont des idées ou des projets.

Voici une synthèse que je prolongerais dans les prochains articles. Les plus pressé.e.s d’entre vous, vous peuvent d’ores et déjà cliquer sur la page consacrée à l’édition 2017 dans son intégralité par ici : JIFA 2017