Journée femme africaine inspiration : vouloir nager sans se mouiller

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L’inspiration du lundi  que je vous propose sur le blog de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine est un rituel bienveillant initié au départ pour booster ma propre motivation, puis pour partager des expériences, et quelques astuces qui m’aident à être une meilleure personne.

Que ces entrefilets suscitent réflexions, interrogations ou inspirent une autre façon d’envisager les choses est la cerise sur le gâteau.    La semaine dernière, il était question de “faire attention a ce qui a été fait”, aujourd’hui je m’interroge sur certains comportements que je partage avec vous :

Je pense par exemple à cette jeune femme dynamique, indépendante, toujours disponible et serviable avec toute le monde, et qui ne comprend pas pourquoi personne ne l’aide jamais !

Je me rappelle aussi cet homme talentueux qui rêve de créer son média indépendant et qui continue de cachetonner l’âme en peine pour des personnes proposant des programmes médiocres.

Je songe également à cette charmante demoiselle qui aimerait se faire pardonner une indélicatesse,  et ne trouve rien de mieux que de se confier à tout le monde exceptée la personne concernée.

Tant d’autres épisodes du même acabit me viennent en mémoire, mais comme vous dirait l’autre, trop d’exemples tue l’exemple. En somme, j’ai trouvé une citation qui à mon humble avis résume ce qui se joue pour ces personnes qui désirent ardemment dans un silence assourdissant.

Vouloir quelque chose mais ne pas essayer c'est comme vouloir nager sans se mouiller. Wilson Kanadi Click To Tweet

Je vous entends d’ici cher.e.s lecteur.e.s adoré.e.s, : Non mais tu es injuste Grace, ce n’est pas aussi simple. Et, j’acquiesce bien volontiers, attendu que rien n’est facile dans la vie.

Seulement, entre nous,  je vous le demande, que croyez-vous qu’il se passerait si :

Au lieu d’attendre que les autres s’alignent sur son comportement, la jeune femme serviable demandait l’aide dont elle a besoin, au moment où elle en a besoin ?

Le jeune homme profitait de ses heures creuses pour expérimenter son idée à toute petite échelle sur la toile, en choisissant enfin en toute indépendance ses sujets ?

La gente damoiselle prenait son courage et son portable à deux mains pour s’adresser sans intermédiaire, sans fausse pudeur et toute honte bue à son interlocuteur ?

Quelles sont vos hypothèses  cher.e.s lecteur.e.s adoré.e.s ? Incorrigible optimiste, je vous espère toujours dans les commentaires pour échanger. Notez bien qu’à compter du mois de juillet, je ne répondrais plus à vos commentaires envoyés via Whatsapp ou Instagram.  Il n’y a que 24 heures dans une journée et les festivités requièrent beaucoup de temps. Je suis certaine que vous comprendrez qu’il me faut faire des choix dans mes interactions.

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