La compilation 2019 est en ligne depuis le 21 juin, et j’ai été prise d’une envie irrépressible de prolonger le moment jusqu’à la fin du mois en vous présentation quelques divas parmi celles que nous mettrons en lumière tout le long de l’édition 2019.  Après le Congo Brazzaville, je vous emmène pas très loin, chez nos cousins du Gabon avec la chanteuse Nicole Amogho que j’ai découvert en 2015 grâce au travail de Mireille Nzoubou (le maquillage, les tenues et la photographie sont d’elle) n’avait jusqu’ici jamais recueillie de suffrage suffisant pour intégrer les 31 chansons de la promenade musicale annuelle de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine. Comme quoi, tout arrive à qui s’obstiner, dire que je l’ai eu à l’usure et que maintenant toutes mes petites copines des coulisses se déhanchent avec délectation en tentant de reproduire les mouvements de la vidéo. SouRIRES !

Bio express : Originaire des Hauts plateaux du Haut-Ogooué au Sud-Est du Gabon, Nicole Amogho s’initie très jeune au chant et devient plus tard choriste de Patiente Dabany. Elle crée ensuite avec Delphine Adossou et Ossiélé Mathurine la formation Harmony qui sort un single puis se lance en 2000 dans une carrière solo où elle revisite le folk gabonais entre tradition et modernité dans les albums Atsima,(2001) Kuni vua (2003), Code secret (2006), Côbaka (2008), Chapitre V (2011), Africa Tèmè (2013) et Mes racines (2017).

A l’exclusion du fait que Ngongo é nkéré est extrait de l’album Côbaka, je n’ai trouvé aucune information ni sur la chanson,  ni sur l’origine de la danse traditionnelle exécutée. Mais je ne désespère pas d’en trouver une fois lorsque nous relayerons les articles sur les réseaux.

J’épargne aux polémistes du dimanche la peine de m’envoyer des mails pour me dire que l’on peut apprécier la musique sans la comprendre parce que  vous prêcherez une convaincue. Seulement voyez-vous, il ne s’agit pas que de vous, de moi ou du moment présent sur la contribution digitale, notre objectif est également d’informer à chaque fois cela est possible pour transmettre, or pour nos divas cela passe par autre chose que le simple plaisir de les écouter.  Comme toujours cher.e.s lecteur.e.s adoré.e.s, il me tarde d’avoir vos impressions sur Nicole Amogho, je profite de l’occasion pour inviter les gabonai.s.e.s capables de nous apporter des informations complémentaires à les glisser dans les commentaires.

Je vous espère dans les commentaires  !