Le journaliste congolais Anthony Mouyoungui  collaborateur blogueur de l’édition 2016 de la contribution digitale à la Journée Internationale de la femme Africaine est un peu comme les bonnes nouvelles ou le bon vin, une bonne nouvelle en  remplace une autre et un bon verre en appelle un autre. SouRIRES! Ce n’est pas que pour la formule ou un bon mot que je glisse dessus, c’est une réalité puisque j’ai suivi la bonne dizaine d’entretiens menés par Anthony Mouyoungui sur Ziana TV pendant l’édition 2019 du salon du livre de Paris qui s’est tenu du 14 au 19 mars.

J’ai commencé par vous proposer son doublé au stand du bénin avec Gisele Totin Ayaba et Harmonie Dodé Byll Catarya et je termine sur le stand  Pona Ekolo avec l’interview de Maud Salomé Ekila journaliste originaire de la RDC, réalisatrice de documentaires et panafricaniste militante, qui pour moi est une découverte inspirante à plus d’un titre. Ce qui me frappe et m’attire d’entrée de jeu, c’est la passion et Maud Salomé Ekila est indéniablement habitée par l’envie de partager Kesho un recueil de 13 histoires et comptines d’Afrique.

Que vous ayez des enfants ou pas, voici 3 bonnes raisons pour lesquels vous devriez acquérir cette petite merveille :

La première raison c’est que Kesho est illustré par… Tandan…  Alain Kojélé, mais vouih, mais vouih le roi de cœur de l’édition 2017, et pour ceux qui trouve que j’en fais des tonnes quand je parle de lui ou plutôt de son talent car je ne le connais pas. Tenez vous bien, car Maud-Salomé Ekila qui a eu l’opportunité de travailler avec lui va encore plus loin. Par ailleurs, vous la verrez tourner les pages, le talent de ce garçon crève l’écran et ses éloges venant du cœur n’en sont que plus touchantes.

Le second motif tient à ce qu’il s’agit aussi d’un  recueil 2.0. Mais oui, il faut en finir dès à présent avec les CD accrochés aux livres pour enfants, puisque l’industrie réduit la présence des lecteurs, Maud Salomé Ekila propose une clé USB pour écouter les audios. Si j’avais le pouvoir de traverser les objets, j’aurais  passé ma main dans l’écran en lui disant  : Give me 5 girl !  Je me suis contentée d’applaudir. Oui je sais, çà ne tourne pas très rond dans ma tête mais çà va aller, on me soigne. SouRIRES !

Troisième raison, et pas des moindres : la lecture. Contrairement à ce que propose la majorité, à savoir une voix lisant toutes les histoires (la leur le plus souvent, hum, hum, ce qui n’est pas toujours de bon aloi, soyons honnête) Maud Salomé Ekila convoque plusieurs voix parmi lesquelles celle de Natou Pedro Sakombi, eh oui celle là même dont je vous présentais le dernier ouvrage sur le maternisme et que vous avez pu entendre par ailleurs dans la RHA présente Aoua Keita. Bien sur qu’il y’en a d’autres que vous connaissez sans doute du reste, je vous laisse le soin de regarder, moi je n’ai retenu que celle qui m’intéressait.

Stop, j’ai trop parlé, le mieux c’est de ceder la place à Maud Salomé Ekila et Anthony Mouyoungui.

Pour en savoir plus sur la participation du journaliste à l’édition 2016 voir sa page dédiée  ☛ Anthony Mouyoungui

Pour plus d’informations et commander le recueil  ☛ Kesho

Eh bien cher.e.s lecteur.e.s adoré.e.s  qu’avez-vous pensé de ce recueil et de la pétillante vénusienne qui en est l’auteure ?  Je vous espère déjà dans les commentaires, et notez bien que si vous ne savez toujours pas quoi m’offrir le 20 mai, un petit Kesho m’irait très bien.  SMILES !