Après la première participation sur mon blog personnel A sept c’est mieux, il n’y aurait pas de contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine, en 2015 sans équipe. Depuis, je renouvelle l’expérience optant à chaque fois pour de nouvelles rencontres, donc une équipe différente. Ce choix a ses avantages et ses inconvénients. En 2015 Aurore Foukissa et Caroline Kiminou ont déblayé le terrain suivies en 2016 par Célia Nlemzé, Aidel Bonsengé Ebendé et Rossita Sambu Buffa.

Chaque année a permis l’expérimentation de nouveautés, l’approfondissement de fondamentaux du passé. Ainsi l’équipe 2016 a été plus participative notamment dans les relais et la gestion sur les réseaux sociaux. Pour 2017, je vais tenter une approche différente moins chronophage, moins individuelle mais tout aussi personnelle puisque tous les sollicités sont uniquement des gens dont je connais le travail sur la toile.  Etre dans l’équipe de la contribution digitale c’est l’occasion de participer à une aventure qui met en lumière des femmes inspirantes, tout en donnant à voir son univers digital à un lectorat qui à priori n’est pas directement le sien.

Ce sont les membres de l’équipe qui désignant leurs reines, leurs muses, leurs voix permettent d’enrichir la contribution de nouvelles femmes africaines inspirantes. C’est ensemble également, que nous animerons alternativement les réseaux sociaux, toujours avec dans l’esprit l’idée de donner à voir 1001 visages de la femme africaine en lieu et place du vieux fantasme caressé par certains d’une femme immuable qui serait la vraie femme africaine. Sic !

L’équipe qui sera présentée en juin est encore une inconnue pour moi, et c’est exaltant d’imaginer qui de celles que j’ai couché sur ma liste répondront à l’appel cette année.

Encore une affaire à suivre…