Contribution digitale à la JIFA : la raison d’être des muses

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Après un bref retour sur le concept des reines de cœur de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine, voici quelques explications sur les muses figurant dans nos différentes galeries pour 2014, en 2015 pour 2016 et en 2017.

Dès ma première participation, tout en répondant moi même à cette requête, j’ai demandé à chacune des reines de cœur que j’avais choisi de me citer une femme africaine qui les inspire ou qui les a inspiré, sous entendu une femme en dehors de la sphère familiale et assez connue pour que nous puissions diffuser un photo et quelques lignes biographiques.

En optant pour les quatre mots d’ordre relayer, inspirer, encourager et féliciter la contribution digitale à la JIFA s’offre l’opportunité de décliner les 1001 visages de la femme africaine jusque dans ses égéries. A la différence des reines, les femmes inspirantes sont également nommés par les collaborateurs au masculin depuis 2016, j’ai trouvé intéressant de leur poser la question, et, puisque la réponse n’est pas toujours évidente de manière spontanée, je vais poursuivre dans cette voie.

Ainsi dans les galeries vous trouverez des muses africaines, des femmes qui d’une manière ou d’une autre ont influencé nos parcours à un moment clé ou qui sont des égéries constantes et permanentes. C’est la raison pour laquelle, vous ne trouverez pas tous les noms de femmes africaines connues, parce que nos galeries ne sont pas des annuaires, mais des représentations subjectives.

J’espère chers lecteurs adorés avoir éclairer votre lanterne ! Si vous avez la moindre question, les commentaires sont là pour cela, je vous répondrais dès que possible.

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