Dans la série de Throwback en 2014 couplé à un saut symbolique de cinq années 2014-2019, je déroule le souvenir des premières reines de cœur avec Chantal Épée promotrice culturelle via l’association Afrodiaspor’Arts –Expressions of Black Cultures, auteure, poétesse et consultante en relation publique et image dont je dois également la découverte à une relation sur Facebook. En 2014, Chantal Epée était celle avec laquelle j’avais le plus d’interactions par le biais des publications de ses pages Facebook, puisqu’elle prenait la peine de répondre aux commentaires.

Au-delà des textes lus sur son site, ce qui m’a toujours plu chez Chantal Epée, c’est son style d’écriture poétique, romantique et militant dont l’éclectisme puise toujours son souffle au Cameroun. A tout le moins, c’est ainsi que je le reçois encore à ce jour.

J’ai eu l’occasion de revenir sur Chantal Epée a plusieurs reprises sur le blog de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine. En 2015 ce fut notamment pour saluer la sortie de « Éclats d’âme » et « Alm’Afrika » deux recueils de poèmes dans Zoom, pour annoncer la première édition du festival artistique Afrodiaspor’Arts et la tenue d’un cœur à cœur littéraire. En 2016, il fut question de l’univers poétique de Chantal Epée et de diffuser quelques nouvelles au travers de  que sont-ils devenues ? En 2017, je reviens sur la reine de cœur via un hommage à James Baldwin et en 2018 par le biais d’une de ses citations dans le cadre de l’article de motivation du lundi : choisir son chemin par Chantal Epée.

Si j’ai retrouvé Chantal Epée sur Instagram, ce sont encore et toujours ses mots qui me parlent, cette poésie d’une parfaite simplicité, d’une abondance heureuse, nourris des grâces et des délicatesses d’une histoire cachée, atrocités et cruautés d’un présent travesti auxquels se mêle et c’est heureux, l’espoir actif, l’espoir militant destinés à ouvrir un âge brillant humainement parlant. Car c’est toujours à l’humain avec un grand H que s’attache la poétesse reine de cœur.

Sa contribution en 2014 ☛ Chantal Epee