Le temps, le temps, le temps et rien d’autre, le tien, le mien, celui qu’on veut… Remonter le fil de toute aventure est le meilleur moyen de se remémorer plus que le comment, le pourquoi. Quelle meilleure occasion que la 6 édition et le 5 ème anniversaire de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine pour découvrir ou se rafraîchir la mémoire, exercice salutaire même pour les plus fidèles d’entre vous cher.e.s lecteur.e.s adoré.e.s. SouRIRES !

Comment est née l’édition 2014 ?

Contre toute attente, tout a commencé par un statut sur une page Facebook concernant Aoua Keita, dont j’ignorais l’existence, et qui a changé le cours de mon existence.   

Le choix des reines

De recherches en trouvailles, tout ce que j’ai appris sur Aoua Keita m’a inspiré et obligé à l’action. J’avais moins d’une quinzaine de jours pour réfléchir à une proposition, la soumettre, la mettre en œuvre et la diffuser. Et j’ai eu beaucoup de chance. car six femmes africaines dont j’admire le travail sur internet ont donné une suite favorable à ma demande de collaboration, il s’agit de gauche à droite sur la première ligne : Liss Kihindou, Chantal Epée, Agnès Diouf, de gauche à droite sur la seconde ligne Marthe-Ghislaine Dayas-Eyoum, Caroline Kiminou et Nadia Origo.

Vous pouvez découvrir leurs portraits en cliquant ici ☛ Reines 2014

La galerie des inspiratrices

En plus des six reines d’africaines, j’ai songé à convoquer même succinctement d’autres femmes inspirantes que j’admire parce qu’elles m’ont inspiré à un moment où à un autre de mon parcours. Certaines sont mondialement connues, d’autres sont appréciées de façon confidentielle par quelques happy few. Pour compléter le tableau de ma présentation, j’ai ajouté à la galerie qui apparaît derrière moi dans la vidéo, les femmes inspirantes de mes reines.

Pour accéder à la page concernant ces femmes inspirantes cliquez ici ☛ Galerie 2014

La vidéo finale

Produire seulement un article publié sur mon blog personnel ne me semblait pas suffisant pour rendre hommage aux femmes africaines, aussi ai-je continué dans l’improvisation en me filmant et en ajoutant tous les éléments récoltés pour la Journée Internationale de la Femme Africaine. Il ne faut pas s’attendre à des miracles avec une production “faite maison” en une nuit et montée avec des brins de ficelle par mes soins.

Sont-ce déjà les effets bénéfiques du thème de l’édition 2019 ou un simple effet du temps ? En revoyant cette vidéo, je suis beaucoup moins sévère avec cette production maison sortie du diable vauvert, je ne me souvenais pas avoir été aussi précise tant sur le fond, que sur la forme.  En revanche, j’ai toujours beaucoup de mal à reconnaître ma voix. Bizarre, bizarre, comme c’est étrange. Dites moi tout, cher.e.s lecteur.e.s adoré.e.s, saviez-vous comment la contribution avait démarré en 2014 ? vous arrive t-il aussi de remonter le temps par nécessité professionnelle, envie personnelle ou devoir familiale?  

Je vous espère toujours dans les commentaires !