En route vers l’édition 2017, après quelques éclaircissements sur la galerie des muses, place à la Suite des coulisses de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine avec la rubrique au masculin créée en même temps que le site internet en 2015. Quelle était la motivation de départ ? Plus sérieusement, de[…]
Après le concept des reines de cœur de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine, voici quelques explications sur les muses qui figurent dans nos différentes galeries 2014, édition 2015 et édition 2016. Dès ma première participation, tout en répondant moi même à cette requête, j’ai demandé à chacune des reines de[…]
Lorsqu’une édition nouvelle se profile, on revient un peu sur les fondamentaux c’est ainsi que j’ai initié une sorte de série qui a commencé par la mise à jour de l’à propos de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine, puis j’ai évoqué la route qui se profile vers l’édition 2017[…]
Après la première participation sur mon blog personnel A sept c’est mieux, il n’y aurait pas de contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine, en 2015 sans équipe. Depuis, je renouvelle l’expérience optant à chaque fois pour de nouvelles rencontres, donc une équipe différente. Ce choix a ses avantages et ses inconvénients.[…]
Comme pour chaque édition depuis 2014, l’idée est d’apporter du neuf tout en consolidant les acquis des éditions précédentes. L’occasion de partager d’un côté ce que l’on nous a transmis et de l’autre ce que l’on aimerait à son tour transmettre. Les festivités commenceront au mois de juin avec comme à l’accoutumé une incursion dans la[…]
En août dernier, je partageais avec vous ma découverte du collectif Guinéenne du 21 ème siècle crée par Dieretou Diallo. A ce propos, il m’a été quelque fois reproché de relayer soit trop tôt, soit tardivement certains événements. Heu… Quel dommage que certaines personnes ne prennent pas la peine de lire et de réfléchir à[…]
C’est sur que l’édition 2016 riche en émotions m’en a fait voir de toutes les couleurs. Ainsi après l’article Adieu 2016, il était logique de prolonger le moment avec une perspective sur ce que pourrait être l’édition 2017 de la contribution digitale à la Journée Internationale de la femme africaine. La seconde partie du programme[…]
Les réseaux sociaux sont incontournables de nos jours, et la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine ne fait pas exception à cette règle. Pour mettre en lumière les 1001 visages de la femme africaine de manière encore plus probante, il faut renforcer la présence existante sur les réseaux sociaux pour entretenir[…]
Lorsque j’ai fais ma première contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine en 2014, en plus de l’article sur mon blog, j’ai fais une vidéo mettant en lumière mes reines de cœur ainsi que nos femmes inspirantes. Dans un monde où nous sommes rivés à nos écrans au quotidien et plusieurs heures[…]
La contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine demande beaucoup de recherches à la fois pour alimenter le site, le blog et les réseaux sociaux. 90 % de nos recherches sur internet et s’il y’a beaucoup d’informations disponibles sur des femmes africaines inspirantes, elles sont disparates et en majorité très mal référencées,[…]
L’une des raisons pour laquelle la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine existe, c’est que je suis convaincue qu’il n’y a pas une femme africaine mais bel et bien 1001 visages de la femme africaine et c’est pourquoi, je vous invite à rejoindre l’édition 2017, car si individuellement dans nos domaines[…]