En vérité le titre de cet article n’est qu’à moitié exact, car si le poète Guillaume Sénamé Djondo nous fait la grâce de nous offrir une création inédite, directement inspiré par le thème de l’édition 2016 de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine : Des racines et des Ailes, vous n’aurez droit sur ses pages qu’à la première strophe.
Dans ce monde éphémère,
Elles sont riches en humanité,
En grandeur et en candeur,
Ces racines dont elles héritent,
Pèsent souvent sur elles,
En communauté, en famille et au foyer,
Sans le soutien extérieur dont,
Elles ont souvent besoin.
Dans leur monde, tout a son temps.
Comme parfois le printemps qui vient après l’été,
Comme le magnifique soleil qui illumine après la pluie,
Comme ces larmes qui viennent après la joie,
Et comme ces bonheurs qui viennent après des sacrifices.
A mi-chemin entre l’élégie et l’ode, c’est une poignante parenthèse que nous offre notre collaborateur togolais en publiant ce matin “Des racines et des ailes…” Si vous le pouvez, je vous conseille de lire ce texte à haute voix, de faire vivre chaque phrase en écoutant le son, c’est une expérience qui déclenche une émotion particulière qui nous accompagne un long moment après la lecture.
Cliquez ici La Plume Parlante pour découvrir le reste du texte de Guillaume Sénamé Djondo.
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com