C’est à la faveur de Barao Afrika, l’émission matinale de Vox Africa que j’ai découvert la sénégalaise Mariéme M. Ndiaye qui a écrit “Le Crépuscule des Boekins” tome 1 de sa trilogie “Des hommes et des chaînes” paru aux éditions Dagan en Mai 2015.

Cette saga historique se déroule entre la fin du 18iéme et le début du 19iéme siècle.

Voici ce qu’annonce la quatrième de couverture
Afrique de l’ouest, fin du XVIIIe siècle… «Une grande forme noire traverse une étendue d eau et vient vers vous !… » C’est dans ces termes qu’une voyante annonce au Roi-Guerrier l’arrivée du Mal en terre Kajan. Depuis trois siècles, cette insatiable mangeuse d’hommes a jeté son manteau de terreur sur les royaumes de la Rivière du Sud, semant mort, destructions, enlèvements et déportations vers un monde inconnu… Seuls les Kajan, peuple de riziculteurs vivant en autarcie, ont pu maintenir jusque-là leur intégrité et leur liberté. Mais voilà que le chaos qui règne dans les territoires environnants frappe aux portes du royaume. Les Kajan parviendront-ils à repousser le Mal hors de leurs frontières ? Le Roi-Guerrier se retrouve face à un choix cornélien : accepter de se soumettre et garder le pouvoir, ou résister à l’ombre noire et voir son règne vaciller…

Passionnée par les fresques historiques romancées, séduite à priori par la promesse d’une intrigue en trois temps prenant sa source en Casamance, mes recherches sur la toile pour en savoir plus sur ce projet de trilogie m’ont conduit sur son site internet. Et là, je me suis dis bingo… Mariéme M. Ndiaye consultante en informatique est bien une romancière de son temps qui a intégré avec professionnalisme le digital. Ainsi, les potentiels lecteurs et les organisateurs d’événements culturels peuvent en un seul lieu en apprendre plus sur l’auteure, suivre son actualité, commander les ouvrages et la contacter. Moi je dis bravo…

Et malgré ma PAL (Pile à Lire) qui me regarde de travers, j'ai ajouté Le Crépuscule des Boekins à ma liste d'achat livresque de mars Click To Tweet et je le lirais avant le 31 juillet 2017 pour vous en reparler pendant les festivités de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine.

Je suis si enthousiasmée par ma découverte que je ne pouvais faire à moins que de la partager. Mariéme M. Ndiaye est une source d’inspiration que j’espère d’autres auteures du continent vont suivre, tant sur le choix du roman historique que sur le positionnement digital.

Courrez…Non volez sur son site mariememndiaye.com et si vous aussi succombez aux charmes de ce roman historique, j’adorerais que nous échangions nos avis, alors n’hésitez pas à le faire dans les commentaires.