J’ignorais en vous parlant de sa participation au projet Majesty en février, que Sabourin Bolewa le roi de trèfle de l’édition 2017 de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine reviendrait si vite sur le blog qui plus est avec une si belle nouvelle. Ne vous y trompez point chere.e.s lecteur.e.s adoré.e.s, si je viens d’en apprendre l’existence,  La Rage de vivre co-écrit avec Balla Fofana a été publié aux éditions Face cachées l’automne dernier. Cependant ce qu’il y’a de bon les livres c’est qu’ils n’ont aucune date de péremption, et celui-ci me donne l’opportunité de découvrir une nouvelle maison d’édition dont la mission et les valeurs rejoignent les miennes. Une fois n’est pas coutume, j’arrête là mon blabla pour céder le pas à la quatrième de couverture.

Quelques mots sur Face Cachées 

Cette maison d’édition est un projet associatif affilié à l’LIDEE(Laboratoire d’initiatives durables, d’expérimentations et d’économie solidaire), elle a pour
de mettre en avant des auteurs aux parcours singuliers et à la plume talentueuse.

Constituée en association, la maison est un acteur de l’économie sociale et solidaire qui a pour objectif de mutualiser les talents, réinvestir les profits et créer des emplois. Faces Cachées se veut une entreprise d’utilité sociale !

Cette nouvelle maison d’édition joue la carte de l’innovation en appliquant au domaine éditorial des stratégies marketing issues des cultures urbaines.

En diffusion-distribution indépendante, chaque titre est défendu sur le terrain auprès des libraires, médias, établissements scolaires et institutions culturelles.

Présentation de l’éditeur

Né d’un père congolais de Kinshasa et d’une mère française de La Rochelle, Bolewa Sabourin est à l’image de toute une génération : au carrefour de ses multiples identités. Du haut de ses 33 ans, cet homme a connu l’exil depuis la naissance, voguant entre les ports d’attache géographiques et sentimentaux.

Abandons, absence de repères, décrochage scolaire, sans domicile fixe… Bolewa Sabourin a puisé sa rage de vivre dans les entrailles d’un monde déchaîné en se raccrochant à un militantisme effréné.

La danse traditionnelle congolaise comme fil conducteur de sa vie, son héritage est devenu sa boussole, son outil de résilience face aux épreuves. Danseur et « artiviste », Bolewa Sabourin use aujourd’hui de l’art comme d’un instrument thérapeutique pour donner aux autres ce que la vie lui a refusé.

Sa trajectoire intense et pleine d’enseignements prouve que la détermination et le travail sont les seuls outils indispensables pour faire de sa vie une œuvre d’art.

Je trouve la lecture de biographie et de récit de parcours singuliers très inspirants alors je vous encourage à vous procurer cet ouvrage qui sans contexte vous boostera le moral  ! Si certains hausseront les épaules, les lecteurs compulsifs me comprendront quand je leur dirais que ce récit m’a bientôt rejoindre ma PAL qui ne fait que s’agrandir avec le lancement de mes deux clubs de lectures cette année. Yes !!!

Si vous en savoir plus sur Bolewa Sabourin à travers ce blog, visitez sa page dédiée sur notre site, vous y accéderez à tous les articles écrits à son sujet ainsi que tous les liens pour suivre son actualité et celle de l’association Loba.

Lire sa page dédiée  ☛ Bolewa Sabourin

Acquérir son livre ☛ La Rage de vivre

Et si vous me faisiez découvrir ce(s) livre(s) qui vous ont donné un coup de fouet ou changé votre vie ? Je vous espère déjà dans les commentaires chere.e.s lecteur.e.s adoré.e.s !