[Littérature en Vidéos ] Vert cru de Touhfat Mouhtare par Joss Doszen

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A quelque chose malheur est bon ! C’est parce que submergé par ses 1001 activités Joss Doszen ne trouvait plus le temps de rédiger ses habituelles chroniques, que je dois la trouvaille de ces trois vidéos sans artifices dans lesquelles, avec sa gouaille habituelle, .

Pour ceux d’entre vous qui nous découvre par cet article, Joss Doszen n’est autre que le roi de cœur de l’édition 2018 de la contribution digitale à la Journée Internationale de la femme Africaine. Dernièrement je vous proposais de faire plus amples connaissances avec son univers bloguesque par l’entremise de sept chroniques d’auteures africaines publiées entre février 2017 et juin 2018. Afin que le tableau se complète au mieux, c’est à un triple voyage en compagnie du primesautier Joss Doszen que je vous convie.

Dans la première partie, c’est tout spontanément que Joss Doszen nous explique les raisons de ce choix filmé au téléphone portable, donne tout de go son état d’esprit et ses premières impressions sur l’ouvrage, de l’ennui du départ au soudain engouement lié à l’attachement au personnage de Arafat. Mais chuuut…. Je vous laisse le découvrir par vous-même.

Seconde partie de la chronique, exit Joss Doszen à l’écran, adieu voix passionnée de celui qui découvre un texte. Ici, le roi de cœur a terminé le livre et c’est l’exemplaire calé à l’angle d’une pièce qu’il filme en discourant. Vraisemblablement enregistré en fin de journée, le débit monocorde presque endormi des premières minutes se mue peu à peu pour délivrer non point la chronique plus cadrée promise en fin de première vidéo, mais une réaction à chaud que je vous encourage à écouter jusqu’au bout car au fur et à mesure qu’il aborde les thèmes qui l’ont touché, déplorent certains points, Joss Doszen donne envie de lire ce livre dont il répète à l’envie qu’il est puissant.

Jamais deux sans trois, et pour cause, la seconde vidéo s’est arrêtée au milieu d’une phrase. Oups ! Entre nous, je m’attendais à une suite sous forme de conclusion. Que nenni chers lecteurs adorés. Joss Doszen fait mieux que cela, caméra pointé sur le livre ouvert, il nous propose la lecture d’un extrait. La boucle est bouclée.

Si je n’avais pas déjà acheté l’ouvrage, Joss Doszen m’aurait donné envie de le faire, et ce, bien que je ne partage pas son point de vue sur certains points, ou peut-être à cause de cela, ce serait intéressant d’échanger à ce propos.

Et vous, chers lecteurs adorés, connaissez-vous Touhfat Mouhtare ou Les Comores ? Quelles sont vos impressions sur la chronique du roi de cœur ?

Envie d’en savoir plus sur le roi de coeur ? Je vous invité à cliquer sur sa page dédiée : Joss Doszen 

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