Journée femme africaine 2015 stop ou encore ?

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C’est à la mi avril 2015, que j’ai réalisé que si je voulais renouveler l’initiative de contribution à la Journée Internationale de la Femme Africaine, il fallait le faire maintenant. J’ai ressorti le dossier de l’édition 2014, fait de nouveau le point sur le parcours et les souhaits formulés par les autres pour l’avenir. Au terme de ses réflexions, je me suis souvenue que certaines personnes avaient émis le souhait de travailler avec moi soit sur des projets ou soit pour relever ensemble des défis bien précis.

A ce stade là, j’étais encore dans le questionnement stop ou encore. Pour savoir dans quelle direction aller et m’ouvrir de nouvelles perspectives, j’ai utilisé la méthode de Walt Disney pour mettre noir sur blanc tout ce qui allait en faveur de l’un ou de l’autre. Au terme de l’exercice, il m’est apparue clairement que je souhaiter aller plus loin et que je ne le ferais pas seule au niveau de l’organisation. J’ai soumis la proposition à Aurore Foukissa qui a accepté de gaieté de cœur de me rejoindre. Caroline Kiminou avec laquelle je collabore déjà pour ses blogs et qui me permet d’utiliser gracieusement ses croquis s’est jointe à l’équipe dans une moindre mesure.

C’est ainsi que les choses se sont ensuite enchainées assez rapidement. A partir du moment où l’on sait pourquoi on fait les choses, donc pourquoi célébrer cette journée, la synthèse sur comment procéder pour l’édition 2015 et comment apporter un plus a été plus évidente. Encore faut-il savoir pourquoi on fait les choses, c’est tout l’objet du prochain article : Pourquoi célébrer la journée internationale de la femme africaine ?

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