Journée cinématographiques de Carthage 2018 via le blog African Women In Cinema

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C’est à l’occasion du Festival du film de Kinshasa que je vous ai parlé de cinéma pour la dernière fois sur le blog de la contribution digitale à la Journée internationale de la Femme Africaine. Les plus fidèles d’entre vous connaissent mon amour inconditionnel pour le blog  African woman in cinema tenu avec l’assiduité d’un métronome par  Beti Ellerson grâce à laquelle j’affine à chaque visite mes connaissances sur les films, les festivals et les réalisatrices africaines.  C’est par son entremise que j’ai appris que Les Journées Cinématographiques de Carthage se tiendront du 3 au 10 novembre 2018 et je suis aux anges de savoir que Beti Ellerson fait partie du Jury 2018.

En attendant de vivre ce festival par procuration, je me suis promenée sur les allées du site, découvrant ici des films en compétition officielle, par là les  productions sélectionnées hors compétition, là encore les cinémas du monde, et enfin les regards sur le cinéma tunisien. Je ne résiste pas au plaisir de partager avec vous, trois films en compétition officielle qu’il me tarde de voir.

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MAKI’LA – Machérie Ekwa Bahango (Congo)

Maki’la , 19 ans, vit dans la rue depuis l’âge de 13 ans. Elle a épousé Mbingazor, un caïd albinos qui l’a initiée à la vie de la rue : drogue, prostitution, vol… mais bientôt, leur relation basée sur l’exploitation et la violence tourmente Maki’la qui se sent prisonnière. Elle décide de quitter Mbingazor.

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Sofia – Meryem Benm’Barek (Maroc) 

Sofia, 20 ans, vit avec ses parents à Casablanca. Suite à un déni de grossesse, elle se retrouve dans l’illégalité en accouchant d’un bébé hors mariage. L’hôpital lui laisse 24h pour fournir les papiers du père de l’enfant avant d’alerter les autorités…

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Rafiki – Wanuri Kahiu (Kenya) 

«Les bonnes filles kenyanes font de bonnes épouses kenyanes». Mais Kena et Ziki recherchent autre chose. Malgré la rivalité politique entre leurs pères, elles restent amies, se soutenant l’une l’autre pour réaliser leurs rêves dans une société conservatrice.

Si comme moi, vous êtes cinéphiles, foncez sur le site du festival et restez-connectés au blog African woman in Cinema, il y’a fort  à parier que Beti Ellerson nous proposera quelques focus sur les films. Enfin, c’est surtout un vœu pieu de ma part. SouRIRES !

Par ailleurs, si vous avez la chance de participer aux Journées cinématographiques de Carthage, merci de partager votre expérience. Autrement, je serais ravie d’échanger également avec vous sur les films évoqués ci-dessus. En attendez-vous entendu parler ? Lequel auriez-vous envie de voir ?

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