Femme africaine Inspiration : face à l’imprévu

journee femme africaine lundi inspiration face pressionC’est un lundi spécial pour nous aujourd’hui, pas seulement parce que c’est le Mandela Day et que le grand Madiba est une source d’inspiration au sein de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine, mais surtout parce que c’est notre top départ pour investir les réseaux sociaux et sublimer nos femmes africaines inspirantes de manières différentes sur chaque plateforme.

Qui sait organisation, planification quelque soit le domaine dit forcément aléas en tout genre et imprévus à gérer. Nous n’échappons pas à la règle, et, pour nous accompagner cette semaine, mon choix s’est porté sur les mots du Dalai Lama pour compléter ma stratégie personnelle de gestion de crises.

Si l’on est blessé par une flèche empoisonnée, l’important est d’abord de la retirer, ce n’est pas le moment de s”interroger d’où elle vient, qui l’a tirée, de quel poison s’agit-il.

Je sais, je sais, il n’y aura toujours pour dire : mais tu ne comprends pas, c’est facile à dire pour toi, et bla, et bla et bla. En vérité, la vie est dure pour tout le monde quand une catastrophe arrive, millions ou pas millions, connus ou inconnus, la problématique est la même, il faut trouver une solution. Et dans ces cas là, l’agitation, la colère, la tentation de trouver un bouc émissaire à rendre responsable de son malheur est grande, c’est humain. Seulement voilà, si je reprends l’exemple du Dalai Lama, si on commence à regarder autour de soi d’où vient la flèche, et se poser des questions, pendant ce temps là, le poison circule et hop en moins de temps qu’il ne faut pour le dire on est “cadavré”….

Donc avec le temps, maintenant j’essaie, j’ai bien dis j’essaie, çà ne fonctionne pas toujours du premier coup, mais j’essaie de garder mon calme à tout prix, pour cela, je pratique la respiration abdominale, même trois grandes bouffées suffisent à faire de l’effet, ensuite, j’évalue la situation en mode qu’est ce qui dépend de moi, et sur quoi je ne peux agir, çà a l’air bête mais çà fait gager du temps et enfin je hiérarchise les priorités en séparant ce qui est urgent, ce qui est important et qui peut attendre un peu.

A partir de là en général, la pression est tombée, je suis concentrée non plus sur le ou les problèmes mais sur les solutions, donc dans l’action.

Bon allez, justement il y’a du boulot, alors je vous dis à mercredi si l’univers le permet !

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