Dans le cadre de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine, une rubrique consacrée aux combats solidaires a été créée dès la mise en ligne du site. L’idée de départ était de relayer les actions multiples et variées qui existent déjà. Ainsi à défaut de pouvoir être sur le terrain, je pouvais au moins apporter une pierre à l’édifice à ma manière par le truchement de la diffusion et de la sensibilisation.

Silencieuse depuis le mois d’août sur ce site et le blog, je me suis servie de mon boudoir créatif  pour répondre aux personnes qui s’interrogeaient sur ma pseudo indifférence aux images ayant déferlées sur les réseaux sociaux au mois de novembre dernier. J’ai donné mon sentiment dans cet article Pourquoi je n’ai pas marché le 18 novembre contre l’esclavage en Libye.

Ainsi, nous sommes fin janvier 2018 et comme je le craignais, je ne vois plus rien, je n’entends plus rien au sujet des noirs vendus en place publique en Libye, l’indignation de bon aloi a fait place à …. Quoi ? A chacun de compléter selon son bon vouloir.

Dans mon article, je disais que seule la perspective d’une action pensée stratégiquement sur le long terme me ferait sortir de mon mutisme, et nous y voilà. J’ai une idée… Dès que mon emploi du temps me le permettra, je la soumettrais à toutes les personnes m’ayant contactées à ce sujet, à tous ceux qui sont intervenus pour dire qu’ils souhaitaient agir, et si au moins une vingtaine sont partantes pour une action commune, alors je m’engagerais, autrement, cela s’arrêtera là pour moi.

La procédure pour informer les intéressées ? Selon les réponses obtenues ce sera soit sur Facebook, soit sur Instagram ou encore via Whatsapp. Vous souhaitez en être ? Cliquez ici MANIFESTE et suivez les indications qui me permettront de revenir  vers vous.