Que sont devenues les adolescentes enlevées Le 14 avril 2014, dans leur lycée de Chibok  au Nigeria? Lorsque j’ai posé la question la semaine dernière autour de moi, les regards médusés des un.e.s et des autres m’ont conforté dans l’idée que l’oubli médiatique est le pire des fléaux car il laisse supposer que ce qui n’est plus à LA UNE est résolu. Et vous cher.e.s lecteur.e.s adoré.e.s, qu’auriez-vous répondu ?

Si la mobilisation à l’instigation de Michelle Obama via le hastag “Bringbackourgirls” a entraîné de facto une médiatisation planétaire, le feu de l’attention s’est consumé à tout le moins dans les médias mainstream, car il reste encore des irréductibles qui à l’instar de Félicité Doubangar continue le combat et nous rappelle à fréquence régulière sur les réseaux sociaux, qu’il reste encore plus d’une centaine de lycéennes en captivité.

En découvrant son tweet et cette bannière, je confesse  mon sang n’a fait qu’un tour. J’ai découvert Aoua Keita en juillet 2014, l’année des enlèvements.  A la création de ce site en 2015, j’ai choisi le verbe RELAYER pour expliquer la  première mission de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine. Aujourd’hui plus que jamais, il me semble impératif de me faire l’écho de ce combat contre l’oubli que mène Félicité Doubangar.

Il est important de DIRE HAUT ET FORT  que nous ne les avons pas oublié, de le montrer et de le partager.  Chacun fait ce qu’il peut, de là ou il se trouve avec les moyens dont il dispose.

Cher.e.s lecteur.e.s adoré.e.s, je vous le demande, avez-vous des suggestions pour combattre l’oubli médiatique qui condamnent chaque jour davantage ces jeunes filles  ?

En attendant de vous lire dans les commentaires, je vous espère dans les partages sur les réseaux.