C’est toujours un plaisir de visiter les espaces des personnes ayant participé à une édition de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine. C’est le cas de Samantha Tracy blogueuse, communicatrice, infographe, monteuse audiovisuel et webdesigner qui a fait partie de la dream team de 2017.

Lorsque j’ai découvert son blog, trois choses ont attiré mon attention, la pétulance de son style, son éclectisme professionnel et le fait que ce soit une compatriote “millenial” vivant dans un pays de l’ouest. Une merveilleuse trinité enrichissante à mes yeux, et dont je m’empresse de partager une sélection d’articles.

Pour commencer, si vous êtes amateur.e.s de nouvelles, vous apprécierez sans doute, les deux chapitres de “L’autre femme de mon homme” publiés en mai 2018.

Chapitre 1  –> Mirabelle

Chapitre 2   –> Le souci technique

Ensuite, je vous propose un détour par la rubrique Découvertes dans laquelle Samantha Tracy fais un focus sur Scheena Donia, une femme aux multiples vies.

J’ai découvert Scheena Donia il y a quelques mois tout juste. Je devais travailler sur un projet où elle jouait un rôle clé et, honte à moi : je ne la connaissais pas ! Il a donc fallu que je me « mettre à jour », à l’image d’un écolière qui se devait de réviser ses classiques avant les examens.
C’est ce que j’ai fait.

Lire la suite –> Scheena Donia

Puis je vous recommande la lecture de Monsieur Songué Diouf, j’ai quelque chose à vous dire au nom de mes jupes courtes…

Le 09 mars dernier, l’émission sénégalaise Jakarloo était dédiée à la femme, un hommage en continuité de la journée internationale des droits de la femme. Alors que cette émission devait magnifier la femme, un des intervenants a créé la polémique. Pour le professeur Songué Diouf – professeur en Philosophie et dont les prises de position ont été plusieurs fois plébiscitées par les téléspectateurs –, les femmes sont à l’origine des cas de viol.

Lire la suite –> Au nom des mes jupes

Enfin pour conclure, je vous invite à lire CHACONA : Chers frères congolais, indignez-vous…ou continuez de vous taire.

Dieu sait que j’avais juré de ne plus écrire sur le Congo. Dieu sait que je m’étais fait la promesse de fermer les yeux parce que finalement rien ne changeait et que même ceux sur qui je comptais pour que les choses aillent mieux avaient décidé de vendre leurs âmes et leurs convictions. Qui étais-je donc pour continuer à crier à gorge déployée que ça va mal au Congo et qu’il était plus que temps de l’on se lève pour que les choses changent ?

Lire la suite –> Chacona

Si vous avez manqué la participation de notre éclectique blogueuse, vous retrouverez sur sa page tous ses entretiens et liens  ☛ Samantha Tracy