[Belgique 18 mai] 34ème Café littéraire “Regards de femmes” autour de Djia Mambu

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Avez-vous lu l’article Découverte afro-belge dans lequel je racontais de quelle manière je suis tombée sur l’association Lingeer en recherchant des informations sur Awa Sene Sarr Bis ? Je ne pensais pas en reparler aussi vite sur le blog de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine. Et pourtant, nous revoilà en Belgique pour un 2 en 1 auquel je ne pouvais résister : un café littéraire qui se tiendra vendredi 18 mai à l’Horloge du Sud et dont l’invitée principale est une cinéphile nommée Djia Mambu dont le point de départ est un questionnement en forme d’entonnoir qui nous oblige à nous interroger.

Que lit-on exactement aujourd’hui dans la presse ? Qu’entend-on quotidiennement à la radio ?
Et surtout, que voit-on dans cette presse, à la télévision ou sur internet ? Cette question tournée vers les lecteurs, auditeurs, téléspectateurs ou plutôt spectateurs devrait s’adresser aux médias eux-mêmes : Qu’offrent-ils à lire, à écouter et à voir ?

Après le travail et le sommeil, les médias constitueraient la troisième occupation des hommes modernes. Ce constat nous a amené à nous poser la question du rôle que jouent ces médias en Occident et ailleurs : quelle perception sur les minorités visibles établies en Europe ? Quels regards sur les Noirs vivant en société occidentale ? Quels jugements portent-ils sur les immigrés ? Quels préjugés ont-ils sur l’Afrique noire et sur les Africains en général ?

Lorsqu’une communauté est stigmatisée dans les canaux classiques – TV, radio, presse – et plus encore – internet publicité, réseaux sociaux, livres scolaires, affiches de films, flyers, etc., quelle est l’image véhiculée au quotidien et à quel public ? Et surtout pourquoi ?

Oups chers lecteurs adorés, me voilà encore prise la main dans le sac à anticiper, à m’emballer sans avoir contextualiser au plus près. Aie ! Ne bougez pas.

Je plante le décor

Petit rappel de circonstance, l’objectif majeur de l’association LINGEER est de participer pleinement à la vie de la cité en Belgique, au Sénégal et en Afrique en abordant des thèmes liés à l’approche Genre. C’est ainsi que le café littéraire “Regards de femmes” s’inscrit pleinement dans le cadre des manifestations organisées sous à l’instigation de dame Awa Sene Sarr Bis.

C’est autour du livre de Djia Mambu Peau noire, média blancs que l’association Lingeer ouvrira le 34 ème café littéraire Vendredi 18 Mai à 18h30 à l’Horloge du Sud pour échanger.

Présentation de l’éditeur

À travers une centaine d’exemples puisés essentiellement dans la presse belge et française, ce florilège tente de montrer et démontrer le mécanisme qui s’opère autour des médias occidentaux quand ceux-ci sont amenés à traiter de sujets concernant les Noirs et/ou l’Afrique, au risque d’insuffler quelques pistes d’amélioration.

A propos de l’auteur 

Djia Mambu est journaliste, critique littéraire, cette spécialiste des médias est également une militante  engagée. Collaborant avec plusieurs rédactions dont Africultures et TV5 monde où on peut retrouver sa chronique cinéma, le lundi, tous les 15 jours dans les coups de cœur cinéma de la revue Awotele.

Un livre, une lecture commune, une discussion autour des thèmes abordés par Peau Djia Mambu voilà ce qu'il ne faut pas manquer le 18 mai à Bruxelles. Click To Tweet

Un livre, une lecture commune, une discussion autour des thèmes abordés par Peau Djia Mambu voilà ce qu’il ne faut pas manquer le 18 mai à Bruxelles.Nous sommes de plus en plus nombreux

La page Facebook  –>  Lingeer

4 thoughts on “[Belgique 18 mai] 34ème Café littéraire “Regards de femmes” autour de Djia Mambu

  • Dommage c’est pas à paris et comme j’ai laissé facebook qui me perd le temps je ne saurais jamais ce qui s’est dit

    • Je comprends bien Aya.
      Pour la distance, Bruxelles n’a jamais été proche surtout depuis Paris.
      Je comprends tout à fait pour Facebook, je m’étais désactivée également pendant une longue période.
      Ceci étant dit, je plaide coupable de ne pas avoir assez réactive avec cette association qui m’a contacté. Je garde vos coordonnées et si d’aventure, nous organisions quelque chose à Paris, vous serez avertie en premier.
      Au plaisir !

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