Adieu 2018 ce que l’on en retient pour la contribution digitale

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Pour l’édition 2018 “entre vision et innovation” mon désir pour la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine était de calquer le modèle de première édition : des reines, des égéries, plus un roi, les divas de la playlist et quelques relais. Cependant je ne pouvais refuser les propositions de collaboration d’une part du Panafrica Woman Glam’s ship à l’initiative de la lady boss Aida Diop et d’autre part la JIFA ivoirienne de l’Association AGUI conduite par sa présidente fondatrice Prudence Kipré Gnanduillet. Merci pour votre confiance mesdames.

2018 a été une édition de confirmation. Primo, conserver les concepts de base reines de cœur et femmes inspirantes désormais largement repris depuis 2015 sur les réseaux sociaux le plus souvent sans mention de la contribution, mais peu me chaux, le but initial a été atteint : voir fleurir de plus en plus d’articles, de publications, de gazouillis mettant en lumière la diversité et le talent des femmes africaines. Et secundo … La nouvelle approche de la playlist a mieux fonctionné sur les réseaux, particulièrement via Whatsapp. Par ailleurs se cantonner au roi de cœur permet la création de plus de contenus.

Ce que j’en retiens pour la suite : je peux dire non au superflu, je sais déléguer et ne plus m’en faire et il m’est possible de synthétiser.

Chers lecteurs adorés, disons gaiement adieu à l’édition 2018 que vous pouvez revivre en cliquant ici et mille merci pour votre présence et vos encouragements.

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