Heureuse de vous retrouver en ce lundi avec ce que d’aucuns considèrent comme une Lapalissade, d’autres le bon sens près chez nous et d’autres enfin une phrase qui permet de relativiser lorsqu’elle est dites à haute voix en pesant chaque mot.
Parfois nous avons besoin des mauvais jours pour apprécier les bons.
Dans l’équipe de la Journée Internationale de la Femme Africaine, nous aimons ces petites phrases et Caroline Kiminou l’a proposé notre page Facebook ici le 26 juillet 2015. Nul n’est épargné par les mauvais moments, donc ce que nous essayons de transmettre par ce choix c’est de se dire qu’au fond l’important se trouve dans notre façon de réagir à ces moments. Si ce qui nous arrive de mauvais dépend de nous et peut être inversé alors faisons l’impossible pour y remédier, si en revanche, nous n’y pouvons rien, ne nous mettons pas martel en tête et attendant que cela passe.
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com