Si l’édition 2019 marque la 6 ème contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine, elle coïncide avec le 5 anniversaire qui m’offre l’occasion de remonter le fil du temps afin comme nous y invite le thème de “célébrer nos victoires partielles” après en avoir fait le bilan.
Précédemment, j’évoquais mes souvenirs de la première contribution de 2014. Dans le présent article, je pousse le curseur plus loin, en deux temps.
D’abord je reviens sur ce que j’ai conservé de 2014 à 2015.
° L’aspect digital : à la fois pour des raisons logistiques et budgétaires, la contribution s’est déroulée exclusivement sur la toile.
° Les reines de cœur : un concept simple à expliquer, un symbole fort pour faire découvrir des femmes digitales talentueuses.
° La galerie de muses : une vitrine de femmes inspirantes qui permet d’élargir le spectre à des figures emblématiques voire mainstream.
° La vidéo finale : si une image parle plus que 1000 mots, l’impact de la vidéo est encore plus amplifiée.
Puis j’aborde les expérimentations de l’édition 2015
– Le passage d’une contribution en solo à une collaboration en trio. Première expérimentation assez calamiteuse, et par conséquent fort instructive pour la suite.
– La création du site internet, d’un logo, d’un générique et l’alimentation d’un blog pour faire connaitre encore plus de femmes africaines inspirantes à travers leurs actualités.
– L’ouverture de la journée au masculin par le biais de collaborations avec des blogueurs et par la distinction de quatre hommes africains.
– La création de relais sur les réseaux sociaux : Facebook, Twitter, Google+ et You Tube. Sachant qu’au bout de quinze jours, les efforts se sont concentrés sur Facebook où les gens se sont rapidement abonnés et étaient très réactifs.
– La présentation et la mise en avant de deux combats solidaires qui me tiennent à cœur.
– La création d’une playlist musicale regroupant plus un kaléidoscope de voix africaines se repartissant en quarante chansons. Je n’avais pas encore décidé de jouer avec les chiffres de la JIFA à savoir 31/07.
Voilà en quelques points cher.e.s lecteur.e.s adoré.e.s. , la synthèse de l’édition que vous pouvez (re)découvrir par ici : JIFA 2015
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com