Encore des retrouvailles en ce début 2018 chers lecteurs adorés, puisque je vous présentais en 2015 ma découverte coup de cœur pour le concept, le site et le magazine en ligne Reines et Héroïnes d’Afrique, j’ai eu l’occasion de brièvement évoquer la fondatrice Natou Pedro-Sakombi au moment de la promotion de son ouvrage Du sang bleu à l’Encre noire publié aux[…]
Après avoir ouvert la marche en partageant mes dernières actualités, je poursuis le tour d’horizon de tous les participants à la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine afin de partager leurs récentes actualités. Si vous avez manquer les épisodes précédents, sachez qu’avec Trésors d’Afrik tout a commencé par un coup de cœur pour Fleur Nana Mengue fondatrice[…]
Kénaba Diarra a été la reine des reines de cœur de l’édition 2016 de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine. Entrepreneuse créatrice de la marque Ecklectika et CEO de l’entreprise éponyme qui propose la location de Bazin de prestige, j’ai eu le grand bonheur d’apprendre la naissance d’ECK Officiel sa nouvelle ligne de Prêt à porter qui sublime[…]
Vous souvenez-vous de Madame Aida Diop vice présidente de la coopérative SN 06 basée à Cannes dont la mission est d’accompagner les sénégalais de la diaspora dans leurs projets d’acquisitions immobilières au Sénégal ? Non ? Je vous en parlais sur le blog la contribution digitale à la Journée Internationale de la femme Africaine dans cet article en[…]
Après avoir brièvement pris quelques nouvelles de notre guest Fleur Nana Mengue, voici venu le tour de Tchonté Silué blogueuse, entrepreneuse sociale et benjamine de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine. Depuis le mois d’août, la créatrice du centre Eulis s’est montrée comme à son habitude prolixe sur les réseaux sociaux[…]
Si notre troisième mot d’ordre est FÉLICITER, le dernier leitmotiv ajouter lors de l’édition 2017 de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine est d’ENCOURAGER. Quelle en est l’origine, pourquoi et comment je l’envisage ? L’origine : pour l’inspiration, c’est encore à Aoua Keita que je dois la première, puisque j’ai puisé dans son parcours,[…]
Une fois que l’on a vu ce que INSPIRER signifie pour la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine, passons au troisième mot clé qui est FÉLICITER. Pour moi féliciter, être félicitée sont des choses tout à fait naturelles. Bien que je sois le fruit d’une éducation stricte, et plutôt protocolaire, j’ai été élevée dans une[…]
Si notre premier mot clé de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine est le verbe RELAYER, notre second leitmotiv est le verbe INSPIRER. En fonction du tempérament, de l’environnement, du parcours, chacun aborde l’inspiration de manière différente. Si d’aucuns sont paralysés par le talent des autres, incapables de le célébrer, d’autres sont galvanisés au point de créer[…]
Le premier leitmotiv de la contribution digitale est de relayer le travail et la créativité dont font preuve de nombreuses femmes africaines dans tous les domaines et sur tous les continents. “Sois le changement que tu souhaites” est l’adage que nous appliquons au sein de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine.[…]
En venant sur le blog de la contribution digitale à la Journée Internationale de la femme Africaine, vous avez l’assurance d’être toujours bien pourvue en inspiration qu’elle soit en terme de motivation ou de bonnes adresses digitales. C’est par Instagram que j’ai découvert ce tout jeune site dont le titre annonce les réjouissances : les[…]
Une grande lassitude, des arrangements pris pour le “défi” du prix Aoua Keita Madieta prenant l’allure de pacte “faustien” m’ont conduit à une coupure radicale avec la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine. Ainsi pour la première fois depuis 2014, à l’exception de l’accompagnement dédié aux personnes suivies dans le cadre de la[…]
Parfois les lapalissades ont du bon, comme celle qui induit que la musique adoucit les mœurs. Je n’imaginais pas en lançant cette initiative que la compilation de la JIFA qui pour moi est un plaisir deviendrait une sorte de sacerdoce. Quelle étrange paradoxe pour moi, de découvrir que même en “musique” les premiers noms qui[…]