Dans la série ils ont célébré la JIFA, après le Cameroun via le blog Minsili mi Zanga, je vous emmène au Mali. C’est par la célébration de la Journée Internationale de la Femme Africaine et de l’écho qu’elle en a fait que je découvre le blog du docteur Aïcha Yatabary Médecin, spécialiste en santé publique, Humanitaire, coopération internationale et auteure d’essais et de nouvelles. Ce blog existe depuis aout 2014, il compte peu d’articles mais tous d’une qualité et d’une profondeur telle qu’il n’est point besoin d’en ajouter. C’est la raison pour laquelle, je vous reparlerais assurément du blog d’Aïcha Yatabary. En attendant, je vous recommande de commencer par le premier article Les grandes douleurs silencieuses, le présent se nourrit du passé, il vous aidera il me semble à mieux comprendre la personne qui s’exprime, à partir de quel environnement elle le fait, et pourquoi c’est une nécessité pour elle.
Pour l’heure je m’en tiendrais à cette série sur ceux qui ont célébré la JIFA et voici le début du texte :
Le 31 juillet, c’était la Journée Internationale de la Femme Africaine, avec à son origine Aoua Kéita, une Africaine qui a marqué son temps. Je l’avais citée en exemple à l’occasion d’un colloque auquel j’étais conférencière à l’Assemblée Nationale de Côte d’Ivoire.
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Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com