L’un de nos mots d’ordre de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine est de relayer autant que faire se peut, tous ceux qui célèbrent la Jifa. Ainsi, chers lecteurs adorés,après le Togo, c’est de l’autre côté de l’hémisphère au Canada, plus précisément au Centre récréatif Centre St-Roch de Québec.
A défaut d’être sur place, je vous propose de revivre l’événement par le biais des deux articles ci-après :
D’abord sur le site Mon Saint Roch, sous la plume de Geneviève Morin poète et étudiante en journalisme, passionnée par les arts en général et les enjeux sociaux en particulier. Elle fait également des chroniques féministes à CKIA 88,3 FM et anime des ateliers de création littéraire.
C’est au Centre récréatif Saint-Roch, samedi 28 juillet, qu’ont eu lieu les festivités de la Journée internationale de la femme africaine (JIFA). Une murale militante réalisée par des immigrantes d’origine africaine y a été dévoilée. Cette murale est le fruit d’une médiation culturelle entre l’artiste Wartin Pantois et les utilisatrices du Service de Référence en Périnatalité pour les Femmes immigrantes de Québec.
L’esprit regénéré par les couleurs vives et les percussions bienfaisantes, je sors enchantée d’une matinée passée à la JIFA de Québec. La JIFA, c’est l’équivalent africain du 8 mars, une journée consacrée aux droits des femmes africaines. À Québec, tout le monde y est invité, peu importe son genre ou la couleur de sa peau. Journée familiale, enjouée, mais avec en arrière-fond l’idée de montrer la force et le talent des femmes d’ici nées sur le continent africain.
Lire la suite –> Murale dévoilée à la JIFA de Québec
Puis sur le site l’Actuel de Québec à travers la publication du journaliste Alain Couillard.
Le Service de Référence en Périnatalité pour les Femmes Immigrantes de Québec (SRPFIQ) tenait aujourd’hui une journée pour créer des ponts entre la femme africaine et la Ville de Québec. Cette activité était organisée dans le cadre des festivités précédant la Journée internationale de la femme africaine, le 31 juillet, qui se déroulera le 28 juillet au Centre récréatif Saint-Roch.
Pour Marielle M’bangha, porte-parole du comité d’organisation JIFA 2018 du SRPFIQ, cette journée a permis d’aborder divers sujets tels: quelles sont les réalités de la femme africaine, afro-québécoise? Comment perçoit-elle sa place à Québec? Comment vivent-elles la diversité à Québec? Qu’est-ce qui les distingue des autres villes?
Lire la suite –> Créer des ponts avec la communauté locale
Ce n’est pas la première fois que j’entends évoquer une célébration de la JIFA au Canada, l’année dernière, j’ai vu passer ici et là sur les réseaux sociaux quelques images de festivités, mais elles n’étaient guère clairement incarnées par une personne identifiée. Or ici, je découvre Marielle M’bangha. Juste le temps de faire quelques recherches chers lecteurs adorés, je vous en reparle prochainement. Si d’aventure vous êtes au Canada, à Québec ou ailleurs, n’hésitez pas à me laisser un commentaire si vous pensez vous aussi organiser quelque chose l’année prochaine autour de la JIFA.
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com