Chaque jeudi soir marque le début de l’excitation à l’idée de m’évader grâce aux voix de nos divines chanteuses de la playlist de la contribution digitale à la Journée Internationale de la femme Africaine. Le choix des titres à mettre en lumière est dictée par vos engouements. Vendredi dernier, je m’évadais au son d’une rumba congolaise signée Laurette la perle. Et cette semaine, la chanson la plus écoutée parmi les 31 morceaux de la compilation est…TAN DAN… Sowemo interprétée par Di’Ja. Hum…Si ce nom n’évoque rien pour vous, je vous souhaite la bienvenue au club des retardataires. SouRIRES ! Entourée par la malienne Oumou Sangaré et la sud africaine Miriam Makeba, Di’Ja trône en piste 3 de la playlist.
Bio express : Hadiza Blell, mieux connue sous son nom de scène Di’Ja, est une artiste visuelle, chanteuse, auteure et styliste. Née le 14 Août 1982 d’une mère nigériane et de John Blell homme politique de Sierra-leone. Elle a grandi en Sierra Leone, au Nigéria, aux États-Unis et au Canada; élevée dans une famille où l’accent a été mis sur la valeur de l’éducation formelle. Di’ja rentre à l’université et obtient deux diplômes universitaires à un très jeune âge. Cependant, les passions de Di’Ja vont très tôt s’étendre au-delà des murs de la classe vers le monde coloré de la musique, de l’art et de la philanthropie. Signée par Mavin Records, Di’Ja multiplie les hits depuis 2014, elle a également été numéro 1 sur un certain nombre de playlists de télévision et stations de radio dans le sud-ouest et l’est de l’Afrique.
Si vous découvrez le blog par cet article, sachez que normalement, c’est dans cette partie que je propose d’ordinaire de plonger dans le cinéma intérieur : un moment intemporel qui nous permet, vous et moi le temps de la durée de la chanson de nous inventer un film dont nous serions à la fois metteur en scène, producteur et personnage principal. Une fois n’est pas coutume, le clip Sowemo propose une telle avalanche d’univers différents et esthétiquement agréables, que mon exercice me semble superfétatoire aujourd’hui.
Angélique à bicyclette, sulfureusement lascive dans l'herbe, sexy en diable en tenue disco, renversante en guerrière, ensorceleuse de bout en bout, le clip Sowemo avec Di'Ja offre un éventail qui rend inutile tout cinéma intérieur Click To TweetCeci étant dit, si ce n’est pas votre avis, rien ne vous empêche de vous prêter au jeu, tous les goûts sont dans la nature. Qu’en dites vous chers lecteurs adorés, cinéma or not cinéma pour vous ?
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com