Comme je vous le disais dans cet article de 2017 du blog de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine, j’aime à me promener dans les allées virtuelles de l’antre de Grâce Minlibé. En attendant de lire “Chimères de verre” son recueil de poèmes publié aux Editions Edilivre en 2014 et “Tristesse au paradis” publié en 2017 aux éditions Vallesse, si je me délecte des nombreux TAGS littéraires auxquels elle participe régulièrement, c’est surtout vers ses notes de lectures que mes pas se dirigent en premier lieu. Prenant le contre pied de la rentrée littéraire qui promet monts et merveilles pour au final ne se concentrer que sur quelques titres présélectionnés au mois de juin par quelques journalistes des médias mainstream, j’opte pour un détour chez quelques fervents lecteurs pour faire mon marché.
Voici les trois notes de lectures que je vous propose de découvrir chez Grace Minlibé.
L’orgueil du désert de Djenaba Fotigui Traoré
Je lis rarement des œuvres maliennes, l’opportunité m’a été donnée au SILA 2018. L’association des éditeurs maliens était en effet présente au Salon.Le volume du livre (100 pages) et le résumé m’ont poussé à acheter L’orgueil du désert.
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Les cris de l’innocente – Unity Dow
Un polar écrit par une auteure botswanaise ? J’achète ! Il combine mes deux challenges personnels : lire un auteur de chaque pays africain et lire des polars africains. Le récit débute par la description d’un homme. Au dire de tous, il était un honnête homme. M. Disanka, quarantenaire, était un bon mari, un bon amant, un bon père, un bon homme d’affaires. M. Disanka a tout mais il semble lui manquer quelque chose lorsqu’il contemple la petite fille.
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No Home de Yaa Gyasi, quelle saga familiale !
Il y a des livres qui nous hantent. On a beau remettre leur lecture à demain, ils sont là sous nos yeux, dans notre fil d’actualités sur Facebook, Twitter. Ils s’imposent. L’envie de les lire devient plus pressante, dévorante. Cela fait un an que je désire lire No home de Yaa Gyasi. Ne le voyant nulle part en librairie, j’ai décidé de le lire en version numérique.
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Ayant lue les ouvrages de Yaa Gyasi et Unity Dow, je sais gré à Grace Minlibé d’avoir ajouter Djenaba Fotigui Traoré à ma liste de plumes féminines à explorer dès que possible. Pour l’instant, je m’efforce de faire baisser ma PAL et ce n’est pas une mince affaire. Si vous appartenez vous aussi au clan “lectorat compulsif”, vous comprenez ma douleur. Sniff ! Par ailleurs, je vous vois venir avec vos gros sabots chers lecteurs adorés pour me rappeler que fort de son abattage pour des raisons non littéraires au départ, No Home a été promu de part et autre par les medias mainstream que j’invective au début de l’article. Oui, je vous l’accorde, mais vous savez aussi que je ne suis pas à une contradiction près n’est-ce-pas ? SouRIRES ! Plaisanterie mise à part, je pense qu’une oeuvre n’a pas à pâtir des angles choisis par les journalistes pour en parler. Les sagas familiales étant une denrée rare dans les fictions “africaines”, il eut été dommage de s’en priver.
Et vous chers lecteurs adorés, avez-vous succombé aux sirènes de la rentrée littéraire ? Connaissez-vous les ouvrages évoqués plus haut ? Parlons en si vous le voulez bien dans les commentaires ! Je vous espère déjà !
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com
Merci pour la mise en avant de mes articles et vos passages sur mon blog.
Tout le plaisir est pour moi “jumelle de prénom”… SouRIRES ! Rien de plus naturelle pour une fervente adepte du précepte attribué à Séneque prônant qu'”Un bien n’est agréable que si on le partage”. Merci d’avoir pris le temps de marquer une halte pour laisser une bafouille, je tacherai de ne pas l’oublier lors de ma prochaine visite ! ✌️