Comme je le disais dans l’article Merci, pendant les festivités de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine, les mails affluaient de toute part, et, je n’ai pu être au four et au moulin. C’est ainsi que comme pour Corinne, je suis totalement passée à côté de l’article de Mawulolo Roger Lasmothey du blog Le dire ou le taire. J’en suis encore mortifiée. Mais je me suis dis que, puisque sur sur certaines radios, on refait bien le match, alors je refais la JIFA 2016 en incluant la participation de Mawulolo Roger Lasmothey ingénieur informaticien togolais qui vit actuellement au Sénégal. SouRIRES !
La politique, le sport et les faits de société composent le gros de son blog. Je n’ai pas vraiment encore le temps de visiter correctement son blog, mais ce que j’ai pu en lire en diagonale, sa rubrique féminine est plutôt gratinée dans le genre réalistico-naturaliste. Si l’humour et vous n’êtes pas copain, si vous avez du mal avec le troisième, voire quatrième degré et le style direct, il vaut mieux ne pas vous hasarder à fouiner sur Dire ou ne pas dire. Nul doute que Mawulolo Roger a choisit, puisque lui il dit. En tout cas, une chose que je lui reconnais c’est son dynamisme sans faille et son esprit d’initiative.
L'article Femme africaine : tout faire pour que bébé vive et grandisse bien de Mawulolo. Click To Tweet Voilà un clin d’œil plutôt original de la part d’un blogueur masculin, puisqu’il nous plonge dans une certaine “intimité” féminine, mettant en lumière quelques traditions qui se perdent au fil des générations. En le lisant, j’ai fortement repensé à cet autre article Á BÁB (mininga) MENDÍM YON: le rituel de masser la nouvelle accouchée avec de l’eau chaude en Afrique lu sur le blog Minsili Mi Zanga.
L’accroche de l’article de Mawulolo Roger se présente ainsi :
L’image de la femme africaine est fortement liée à la conception et au fait d’être mère. Dans les conceptions et croyances africaines, il y a des choses autorisées et d’autres interdites pour que tout enfant venu au monde vive et grandisse dans les meilleurs conditions.
Certaines vous étonneront peut-être mais beaucoup de femmes africaines analphabètes ou scolarisées y tiennent toujours et les respectent jusque-là. Que ne ferait pas une mère pour protéger son enfant ?
Voici ce que m’a dit ma mère, femme africaine, donc ce que je vais dire est lié au Togo mais d’autres cultures et d’autres pays s’y retrouvent certainement.
Je vous invite à lire la suite sur Dire ou ne pas dire
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com
Merci beaucoup pour l’article…
Tout le plaisir a été pour moi cher Roger…. Et je déduis de ce commentaire que je suis pardonnée d’avoir oublier de revenir vers vous ?
A bientôt !