Bineta Diédhiou taekwondoïste sénégalaise olympienne, médaillée mondiale et quadruple Championne d’Afrique de Taekwondo a fait partie de mes reines de cœur de l’édition 2018 de la contribution à la Journée Internationale de la Femme Africaine. Si vous avez manqué son portrait, rattrapez-vous par ici ☛ Reine Diédhiou
En créant l’association Sport – Challenge – Solidarité dont la mission est de promouvoir les valeurs du sport, l’esprit de solidarité et de partage auprès des jeunes, la championne ambitionnait d’aller à la rencontre d’une jeunesse qui parfois manque d’inspiration positive qui ne soit pas auréolée de glamour factice comme on en trouve sur les réseaux ou de paillettes télévisées. Dans mon article de présentation de Bineta Diédhiou je m’étais surtout arrêtée à la jeunesse dans son acception globale en pensant aux cadets, sans prendre la mesure de tout le travail que la championne effectue auprès des benjamins. Il aura fallu une publication à l’occasion de la Journée Internationale de l’enfance à l’automne dernier, pour que cela me saute aux yeux et que j’approfondisse mes recherches.
Je veux à travers un partage de ma passion pour le sport, inspirer les générations futures et contribuer à un changement positif. Je veux aussi amener les enfants à croire en leurs capacités et en leurs rêves. Click To TweetBineta Diédhiou dit également que : Donner ,recevoir, partager ,éduquer et enseigner :ces vertus fondamentaux de la vie sont de toutes les modes et de toutes les époques. Elles sont la vie et le développement, la recherche du savoir et de l’excellence à tous les niveaux. Contrairement à ce que pensent certain.e.s, les arts martiaux n’encouragent pas à la violence, bien au contraire, plus vous avancer, plus vous êtes forts, plus vous apprenez à vaincre sans combattre, parce que je vous avez conscience des dégâts irréversibles que vous pouvez occasionner chez les autres. Evidemment à toute règle ses exceptions, il y’aura toujours des irréductibles “castagneurs” cependant en général, ils le sont avec ou sans sport de combat. Et même le meilleur maître n’y pourra rien.
Comme le dit si bien Bineta Diédhiou : Savoir partager est une habileté importante à acquérir pour pouvoir s’entendre avec les autres. C’est toutefois un apprentissage difficile pour un tout-petit. C’est pourquoi plus tôt, l’on réussit à les immerger dans un environnement propice mieux ce sera, puisque ces enfants sont les adultes de demain.
Si vous êtes au Sénégal et que vous cherchez une activité extra scolaire pour vos enfants, rapprochez vous de l’association de Bineta Diédhiou pour voir comment cela se passe. Il n’y a que le premier pas qui coûte, et il peut faire toute la différence. Regardez la photo ci-dessous, vous voyez cette petite fille à couettes avec ce délicieux arrondi vénusien ? Eh bien, dans une autre vie, c’était moi, avec un autre type de tenue, puisque mon sport était le karaté et non le taekwondo, et même si j’étais la seule élève de mon père, j’ai appris des leçons qui sont gravées dans mon esprit à jamais.
Si comme moi vous aimez être entourée de personnes positives qui vont quelque part, pensez à rejoindre la championne sur les réseaux sociaux, ses publications sont (quasiment) toujours inspirantes.
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Et vous cher.e.s lecteur.e.s adoré.e.s, pratiquez-vous ou avez-vous pratiqué un sport de combat (ou pas) ? Que vous en reste t-il ?
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com