Comme c’est une question que l’on me pose souvent, il me semblait judicieux de “reposter” une synthèse de ma découverte de la Journée Internationale de la Femme Africaine en 2014. Ainsi vous saurez pourquoi et comment, j’ai initié une contribution “digitale” à l’initiative d’Aoua Keita.
Comment est née l’édition 2014 ?
Tout a commencé par un statut sur une page Facebook concernant Aoua Keita, et, c’est en suivant ce lien, que j’ai fais des recherches pour en savoir plus à la fois sur la femme et cette journée. Si je devais résumer ce que j’ai appris d’elle, je dirais qu’Aoua Keita était une sage femme, militante, auteure, féministe et visionnaire.
Le choix des reines
Tout ce que j’ai appris sur Aoua Keita m’a inspiré et obligé à l’action. J’avais moins d’une quinzaine de jours pour réfléchir à une proposition, la soumettre, la mettre en œuvre et la diffuser. Et j’ai eu beaucoup de chance. Malgré le court délai, six femmes africaines dont j’admire le travail sur internet ont donné une suite favorable à ma demande de collaboration, il s’agit de gauche à droite sur la première ligne : Liss Kihindou, Chantal Epée, Agnès Diouf, de gauche à droite sur la seconde ligne Marthe-Ghislaine Dayas-Eyoum, Caroline Kiminou et Nadia Origo.
Vous pouvez découvrir leurs portraits en cliquant ici ☛ Reines 2014
La galerie des inspiratrices
En plus des six reines d’africaines, j’ai pensé qu’il serait intéressé de montrer même brièvement d’autres femmes inspirantes que j’admire parce qu’elles m’ont inspiré à un moment où à un autre de mon parcours. Certaines sont mondialement connues, d’autres sont appréciés de façon confidentiel par ceux qui s’intéressent à leur domaine de compétence. Pour compléter le tableau de ma présentation, j’ai ajouté à la galerie qui apparait derrière moi dans la vidéo, les femmes inspirantes de mes reines.
Pour accéder à la page concernant ces femmes inspirantes cliquez ici ☛ Galerie 2014
La vidéo finale
Produire seulement un article publié sur mon blog personnel ne me semblait pas suffisant pour rendre hommage aux femmes africaines, aussi ai-je continué dans l’improvisation en me filmant et en ajoutant tous les éléments récoltés pour la Journée Internationale de la Femme Africaine. Il ne faut pas s’attendre à des miracles avec une production “faite maison” en une nuit et montée avec des brins de ficelle par mes soins.
J’espère que tous ces éléments vous éclairent sur mes motivations et le déroulement de ma première contribution à l’initiative d’Aoua Keita.
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com