Pourquoi changer une technique qui donne des résultats ? L’année dernière, j’ai crée un programme en 2 étapes qui permet de clôturer en la revisitant l’année écoulée, d’en extraire le positif, le négatif, l’impromptu, d’en faire une synthèse, de ne conserver que ce qui pourrait permettre une avancée l’année suivante. Seconde étape, la projection dans l’année à venir en répondant à quelques questions bien précise. Cela a plutôt bien fonctionné pour moi en 2017 alors je remets le couvert pour réfléchir à ce que pourrait être l’édition 2018 de la contribution digitale à la Journée Internationale de la femme africaine sachant que “reprise professionnelle oblige”, je dispose de moins de qu’auparavant.
Ce dont j’ai vraiment besoin pour une édition 2018 qui augmente l’impact de la mise en lumière des femmes africaines inspirantes, c’est en priorité que la santé se maintienne de manière constante, ensuite moins de personnes dans la barque, cap sur une immersion à la rencontre des différents protagonistes et enfin trouver des moyens originaux de promouvoir à leur juste valeur les actions programmées.
En 2017, le défi du Prix Aoua Keita Madieta a été un flop. Raison majeure le piège du gros sponsor unique qui viendrait imposer les personnes de son choix et transformer une expérience de terrain en un gala d’apparat. SIC ! Merci mais non merci ! Je refuse d’accoler ces deux noms à un événement qui ne dépassera pas la première édition faute de vision et de personnes compétentes. Pour ne pas tomber dans le même piège, j’ai deux idées à tenter, nous en reparlerons lorsque vous verrez le résultat. Semi-Top la loterie solidaire a au moins eu le mérite de m’avoir ouvert les yeux sur les besoins et la distance qui séparent de nombreuses entrepreneuses de l’atteinte des résultats qu’elles méritent. Il faudra que je revois totalement ma copie avant de réitérer l’expérience tant en terme de temps, de besoins que de compréhension.
Comme l’année précédente, il n’y a plus qu’à... transformer mes objectifs pour la contribution digitale à la Journée Internationale de la femme africaine en plan d’actions concrets.
Tant que la santé est là, j'ai pu expérimenté qu'avec du courage, de la conviction, on vient à bout de tout, on peut réussir tout ce qu’on entreprend. Click To TweetChers lecteurs adorés, il faut y croire même quand rien ne permet d’y croire ! A la fin de la journée, je préfère me coucher sans remords, ni regrets, je choisis d’être dans la gratitude d’avoir pu faire tout mon possible dans la journée. Je refuse désormais de me coucher l’inquiétude au creux de l’oreille, la vie est trop courte !
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com