Impossible de prétendre prolonger l’initiative d’Aoua Keita la militante qui créa à la Journée Internationale de la Femme Africaine, sans marquer notre solidarité pour des combats qui sont en cours et qui malheureusement ne sont plus présents dans les médias, pour lesquels une actualité en chasse une autre. Nous voulons le faire sans ostentation, parce qu’il ne s’agit pas de donner des leçons à qui ce soit, il s’agit de dire que nous ne les avons pas oublié, de le montrer et de le partager. Nous refusons d’entrer dans de vaines polémiques comparatives pour dire que tel malheur suscite plus de médiatisation que tel autre, ce qui nous intéresse, ici et maintenant, c’est que pouvons nous faire NOUS là tout de suite. Nous avons choisi de faire ce que nous pouvons en parler, l’écrire et le montrer. En matière de souffrance féminine dont nous sommes solidaires, il y’en aurait beaucoup à énumérer, or nous ne pouvons pas être partout, au risque d’être nulle part. Nous avons pris le parti de nous attarder sur ces deux combats dont nous sommes solidaires.
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com