En ce jour de fête, nous tenions à souhaiter à toutes les mamans africaines une bonne fête, en commençant par notre mère de cœur Aoua Keita créatrice de la Journée Internationale de la Femme Africaine. A ceux qui nous houspille en disant que la Fête des Mères est une invention commerciale occidentale qui n’a rien à voir avec les valeurs traditionnelles africaines, nous répondons “mais oui bien sûr” so what ? Les mères africaines n’auraient donc pas le droit d’être célébrées de façon ostentatoire à date fixe comme les autres ? Heu… Est-ce l’aspect commercial ou traditionnel qui heurte le plus ? Peu importe. Notre credo est que la vie est faite de choix. Et nous choisissons nos combats. Fêter ou non les mères le 31 mai relève pour nous plus d’un choix personnel que d’un combat vital. Une mère africaine qui aurait ce jour là, encore plus de marques d’affection, même sur commande ne s’en plaindrait pas, enfin, pas à notre connaissance.
Le métier de mère est le plus difficile au monde, il est également celui qui ne s’arrête qu’avec le dernier souffle, pour ces raisons et tant d’autres, nous saluons toutes les mères africaines qui ont à cœur de l’être du mieux possible.
Bonne fête des mères !
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com