À l’occasion de la journée mondiale de la culture Africaine aujourd’hui 24 janvier, PanAfrica Woman glam’S Ship rend un vibrant hommage à la DIVA Sénégalaise COUMBA GAWLO SECK.
Coumba Gawlo a cartonné avec sa reprise de « Pata pata » de Miriam Makeba en 1998 !
La DIVA à la voix d’or se révèle dans son nouvel album intitulé « Terrou waar », un véritable voyage de sensations au cœur des spécificités culturelles de son pays le Sénégal. L’opus est un retour aux sources musicales dans lequel l’artiste chante la richesse du patrimoine national et vante le brassage ethnique et culturel.
En mettant en valeur les chansons traditionnelles des différentes ethnies, dans les langues d’origine, l’artiste partage une richesse méconnue et sillonne, avec sa voix, les contrées du Sénégal dans un style unique, fait d’originalité et pureté, dans une orchestration mêlant les instruments modernes aux sonorités traditionnelles.
Le sens de cet album inédit appelant au brassage des cultures et des peuples comporte 14 titres inédits et traverse le Sénégal, de la Casamance au Sine Saloum en passant par la région orientale, le Boundou et le Fouta avant d’atterrir à Tambacounda, puis Kedougou et enfin Kolda.
Nous vous proposons un voyage culturel en musique avec “Terrou waar” au coeur de la tradition et de la culture Sénégalaise:
🎙L’histoire du titre “DIOMBADIO”
Cette chanson reste l’élégie des femmes épanouies, cette fredonnée est dédiée aux mariées en robes nuptiales, au moment de rejoindre le domicile conjugal. Dans la tradition Peulh, le mariage, par le fait de rejoindre le domicile conjugal, est un moment de rupture avec le passé, où l’on chante la femme, vante ses vertus, pour la doper et lui indiquer qu’elle va se donner à son mari pour agrandir la famille, procréé. La chanson est comme un hymne au mariage mérité, où l’épouse prend toute sa valeur, elle, la choisie. Avec tout le symbole de l’amour et de la reconnaissance sociale, pour l’épouse qui va rejoindre son époux, c’est elle, qui mérite, les lauriers .Bien plus, dans la tradition Fouladou entourée du mythe de la chasteté, ce moment fort du couronnement d’une vie de fille donne tout un sens à cette mélodie, vantarde et souveraine. Djombadjo, c’est littéralement, la choisie.
🎙L’histoire du titre #NA
Louange à nos parents, surtout nos mamans. Cette chanson rend hommage à la cheftaine de famille, la nourricière, la berceuse, l’éducatrice et la formatrice.Si les parents doivent être des références de vie, la mère reste une source de vie, elle est l’origine de tout et c’est elle qui mérite les ultimes louanges. En chantant ses parents, on rend hommage à sa descendance, on se glorifie mais retourne le succès à celle qui enfante.
🎙L’histoire du titre #SIYO
C’est une chanson qui parle du mariage traditionnel dans la communauté HALPULAR. Elle vente le sacre et les valeurs du mariage dans la communauté Boundou ou l’on fait les éloges de la mariée pure et vertueuse après la nuit Nuptiale.
Vous pouvez télécharger mon nouvel album à partir de ce lien : https://lnk.to/Terrouwaar
Bonne écoute !
En marge de mon travail dans la fonction publique hospitalière, j’alterne entre différentes casquettes. Depuis 2014 vice-présidente, chargée de communication @Habitat SEN 06 coopérative immobilière. En 2017 récipiendaire du prix Leadership féminin @journées d’été Diaspora Africaine en France ; responsable développement projet @Money Diaspora, promoteur du premier salon de l’immobilier Africain en France. En 2018, initiatrice du challenge JIFA avec @Panafrica Woman Glam’s Ship, le Cercle des femmes panafricaines glamour et Leadearship de Cannes et d’ailleurs. Pour rejoindre l’aventure envoyez un mail à :contactpanafricawomen@gmail.com