Du 10 au 20 mars 2018, le Togo accueillera un nouvel événement mettant les femmes cinéastes d’Afrique et du monde entier à l’honneur. Voilà le genre de nouvelles qui transcende mon humeur instantanément. Dès la seconde édition le cinéma a occupé une toute petite place sur la contribution digitale à la Journée Internationale de la femme Africaine, surtout par le biais de la galerie des femmes inspirantes en la personne de le cinéma réalisatrice sénégalaise Angèle Diabang. Suivirent de nombreux clins d’œils à des festivals, documentaires et surtout mon coup de cœur pour le blog du cinéma africain au féminin.
Mais revenons à notre événement de manière succincte à tout le moins avec les informations glanées sur mes deux articles.
De quoi s’agit-il ?
La toute première édition du Festival Africain des Films de Femmes Cinéastes (FAFFCI) se tiendra dans deux villes togolaises du 10 au 20 mars 2018. A Lomé la capitale et dans la localité d’Agbodrafo se retrouveront des professionnels et acteurs du 7ème art exclusivement dédié aux femmes.
Organiser par qui ?
Christelle Mazahalo Esso, présidente de l’association Pépinière Internationale d’Acteurs de Cinéma (PIAC), promotrice du FAFFCI.
Dans quel objectif ?
– mettre sous le feu des projecteurs, les productions de femmes d’Afrique
– promouvoir l’équité genre dans l’industrie cinématographique.
– améliorer la performance et augmenter l’effectif des femmes cinéastes techniciennes
– permettre l’échange d’expérience sur les métiers du cinéma entre des femmes cinéastes de différents horizons.
Au programme ?
– Des conférences-débats
– Une compétition de films documentaires et de films fictions
– Une master class sur la condition des femmes dans l’espace cinématographique
Les participantes ?
Pour l’heure, sont annoncées au Togo, les réalisatrices et actrices en provenance des États-Unis, d’Angleterre, de Belgique, de France, de Suisse, du Bénin, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, du Gabon, du Cameroun, du Congo Brazzaville, de RD Congo, du Rwanda et la liste n’est pas exhaustive.
Last but not least : voici dans l’ordre les créations que je brûle de découvrir : Chatte on tchat de Lawson Latré Kevon Tabith (Togo), Mon cauchemar de Skalor Amela Dominique (Togo), Né en prison de Henriette Hangnamey (Bénin), A cette inconnue de Koffi Ursula Christelle (Côte d’Ivoire), Liberté emprisonnée de Sara Mikayil (Maroc) et Danse Blem de Rosalie Koudanbe (Burkina Faso)
Oups ! A mon grand damne, point de lien vers un site dédié ou quelques réseaux. Je compte sur africanwomenincinema.blogspot.fr mon adresse de prédilection pour le cas échéant faire une mise à jour.
Mise à jour : dans un article du 19 mars 2018 Betti Elerson rédactrice du blog African Women In Cinema vous propose en plus de voir le visuel de la première édition et tous les liens vers ses sources. Cliquez ici pour y accéder => FAFFCI
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com