Plus que deux lundi avant que nos célébrations pour l’édition 2016 de la contribution Journée Internationale de la Femme Africaine ne s’achève et que nous prenions une pause bien méritée pour mieux vous retrouver à la fin de l’année. La semaine dernière la question était à la gestion des priorités, aujourd’hui c’est à un proverbe africain que je me réfère pour donner le ton de l’inspiration de la semaine.
C’est au bout de la vieille corde que l’on tisse sa toile.
L’avantage des adages et autres proverbes c’est que même s’ils ont une explication officielle, chacun est libre de l’interpréter à sa guise. Ce que cela m’inspire c’est que rien ne se créée de nouveau qui ne puise sa source dans une ancienne création, même de manière subliminale. C’est sur la vieille de l’initiative d’Aoua Keita que j’ai eu envie de tisser une nouvelle toile grâce aux nouvelles technologies.
J’encourage toutes celles qui se disent qu’elles ne peuvent rien apporter de nouveau, parce que leurs idées ou leurs projets a été déjà mis en place par quelqu’un d’autre, à s’inspirer de ce proverbe en se concentrant sur la plus-value qu’elles apporteront en développant leurs nouvelles toiles.
Bon début de semaine à tous et à mercredi si l’Univers le permet !
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com