En route vers l’édition 2017, après quelques éclaircissements sur la galerie des muses, place à la Suite des coulisses de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine avec la rubrique au masculin créée en même temps que le site internet en 2015.

Quelle était la motivation de départ ?

C'est l'histoire d'une africaine qui prône la complémentarité en étant contre les hommes, tout contre. Smiles! Click To Tweet

Plus sérieusement, de même que la contribution ne s’intéresse pas à toutes les femmes, la rubrique au masculin ne concerne pas tous les hommes. Tout ce qui est fait sur la contribution l’est avec comme intention de générer plus d’inspiration. J’ai la naïveté de croire que plus on met en lumière des exemples positifs, plus on a de chances que ces derniers soit imités, alors je tente ma chance et advienne que pourra. Ainsi est née la rubrique au masculin.

Comment sont choisis ces hommes ?

Le choix est peu ou prou le même que pour les reines de cœur. Les hommes du 31 et les blogueurs collaborateurs sont des personnes dont je connais le travail, que je lis régulièrement sans les connaitre personnellement. Il n’est pas rare que je contacte des personnes sur lesquelles j’ai écris un article des mois, voire des années auparavant. Donc plus que les individus en tant que tel, ce sont leurs productions qui me sont familières et qui me poussent à les solliciter ou à les mettre en lumière dans les cas des personnages publiques auxquelles je n’ai pas d’accès direct.

Comment cela s’est traduit dans les faits ?

En 2015, la rubrique au masculin a permis d’une part de distinguer des hommes qui aiment les femmes et le prouvent par des actions concrètes en couronnant des hommes du 31 juillet, d’autre part de faire appel à des collaborateurs blogueurs conviés à partager leurs opinions sur la JIFA et à présenter leurs muses africaines.

En 2016, en s’enrichissant d’un thème dédié, la contribution a quelque peu modifié son fonctionnement, et, cela s’est traduit dans la catégorie au masculin par le maintien d’un seul couronnement, celui du roi de cœur et des collaborateurs blogueurs plus impliqués dans le processus et le relais sur les réseaux sociaux.

Pour l’édition 2017, le défi est d’arriver à un équilibre qui donne à voir d’un côté les hommes qui ont placé les femmes au centre de leurs actions, et, de l’autre une plus grande place aux égéries de nos collaborateurs, avec si possible du contenu vidéo. C’est une gageure sur laquelle je ne peux spéculer, nous serons très vite fixé, et ce, dès le mois de juin.

C’est donc là aussi, une affaire à suivre…