Par habitude, dès la première contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine, j’ai procédé à un debriefing avec les personnes sollicitées. Depuis trois ans que je renouvelle l’opération, force est de constater que ce n’est pas un exercice auquel la majorité se prête de bonne grâce. C’est un peu dommage car je ne vois pas bien comment passer outre ? Si vous avez des alternatives au debriefing, je serais heureuse de les connaitre et d’essayer, alors n’hésitez pas à les partager dans les commentaires.

Revenons à notre bilan 2016, et, pour ce faire un petit retour en arrière me semble important pour mesurer l’évolution.

Après mon galop d’essai de 2014, pour l’édition 2015, je souhaitais en priorité faire trois choses : créer un site dédié, passer de l’individuel au collectif en terme d’équipe et créer du contenu de qualité qui génère des visites sur le site et du partage sur les réseaux sociaux. Bon gré, mal gré, ces objectifs ont été atteints.

En 2016, toujours limitée par le temps, je me suis fixée : trois priorités renforcer l’existence du site, créer davantage d’alliances et organiser une conférence de presse en compagnie de quelques participants. Le premier point a été atteint au delà de mes espérances, plus de visiteurs et surtout de pages consultés, un meilleur référencement sur Google. Le second objectif est à améliorer, le troisième a été un flop, j’ai du annulé in extremis. SIC !

Pour l’édition 2016, je suis reconnaissante de l’implication de toutes ces personnes qui ont acceptées de rejoindre cette aventure sans me connaitre ou m’avoir jamais rencontré, je me réjouis d’avoir éviter les couacs techniques, et, je rends grâce d’avoir pu aller au terme des festivités.

Fort des liens tissés pendant les festivités de 2016, de nouvelles idées, de nouveaux défis sont à l’ordre du jour pour pour l’édition 2017, et, cela fera l’objet d’un prochain article.