Stop au viol comme arme de guerre : Pour un Tribunal Pénal International pour la République Démocratique du Congo. C’est plus qu’un cri, que ce combat solidaire dont nous parlons aujourd’hui car les violences dont sont victimes les femmes en RDC sont d’une atrocité qui dépassent l’entendement. De nombreuses personnes se mobilisent depuis quinze années, dénoncent, se mobilisent, hélas, pour bien peu de résultats. Est-ce une raison pour abandonner ? Certainement pas, bien au contraire. Nous gardons à l’esprit l’exemple d‘Aoua Keita initiatrice de la Journée Internationale de la Femme Africaine et fort de cette femme inspirante que nous nous disant que nous ne pouvons pas ne pas faire quelque chose, aussi infime que cela semble face au traitement inhumain que subissent les femmes dans les zones de combats en République démocratique du Congo.
Nous nous pensions impuissantes parce que nous ne pouvions nous impliquer sur le terrain, mais c’est faux, chaque geste compte dans de tels cas. Et il faut pouvoir faire à sa mesure, là ou l’on se trouve avec les moyens dont on dispose, c’est pour cela que nous avons rejoint et signé la pétition déposée en ligne sur le site Change.org. Elle a été initiée par maitre Hamuli Rety et signée par 52 personnalités féminines dans un premier temps. Au moment où cet article est rédigé la pétition a dépassé les 50 000 soutiens et l’objectif est d’atteindre les 75 000 signataires. Encore une fois, il y’aura toujours quelqu’un pour nous dire, que c’est une goutte d’eau dans l’océan, et, tout cela ne sert à rien parce que les intérêts dans cette région sont trop importants, qu’après tout, çà ne change rien concrètement pour ces femmes.
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com
Merci pour ce billet qui attire l’attention sur ce que le gouvernement congolais veut cacher. Est-ce que c’est parce que Kabila père a été chef de guerre que son fils cherche à cacher ce que les bandes armées sauvages sont entrain de commettre en RDC, comme ailleurs, contre les femmes depuis des décennies?
Se taire c’est être complice!!!
c’est toujours la même chose, toujours les femmes les premières victimes quand les hommes cherche leur interet, je prie pour elles tous les soirs, c’est pas beaucoup mais je sais pas comment faire plus
Réponse tardive vaut mieux que point de réponse, êtes vous d’accord Abdoulaye Bah ? Je l’espère car j’espère bien prolonger nos échanges.
Ceci étant dit, merci à vous pour la visite et surtout pour ce commentaire qui en quelques mots dit l’essentiel et je retiens surtout la conclusion qui me parle totalement ” se taire c’est être complice”.
J’ai “curioser” un peu sur votre blog que j’ai ajouté à mes favoris dans les marques pages afin d’y retourner et vous lire en prenant tout le temps nécessaire.