Dimanche 23 et lundi 24 avril seront des journées placées sous le sceau des arts et de culture au sein de la contribution digitale à la Journée internationale de la Femme Africaine. Jugez plutôt…
Dimanche 23 avril, outre aux vœux virtuelles que nous enverrons à l’écrivaine, magistrate et militante pour les droits des femmes botswanaise Unity Dow à l’occasion de son anniversaire, nous souhaiterons bon vent à nos amis de Conakry qui commence leur année de capitale mondiale du livre avant de nous rendre au vernissage de l’exposition de Namsa Leuba.
Lundi 24 avril Chronos nous déplacera en heureuse compagnie dans le 7 ème arrondissement de Paris au 125 de la rue de Suffren pour Lire l’Afrique à l’Unesco.
De 13 à 14 heures, salle II nous nous laisserons charmer par « Kongo Square » les graves jazzy de la captivante Helmie Bellini, accompagnée des artistes slameuses Ella Kinzonzi et Harmonie Dode pour une performance chantée et contée.
De 14 heures à 15 h 30 une halte par la salle IV tendre l’oreille vers les observations de la table ronde et capter au passage ce qui ressort de ces « Regards croisés sur l’Afrique littéraire d’aujourd’hui » , et, qui sait peut-être saisir l’occasion de passer des choses revues à la signature de mon exemplaire de Terre ceinte par Mohamed Mbougar Sarr ou pas. SouRIRES !
Nul doute, que je resterais sagement à ma place pour ne rien manquer de la table ronde suivante qui de 15 h 45 à 17 h 15 déroulera le thème o combien doux à mon oreille « Femme africaine, source d’inspiration littéraire » surtout lorsque je sais que Dominique Loubao l’irrésistible et impétueuse Présidente de l’association La Plume Noire et Directrice du Prix Senghor en assurera l’animation.
Il me faudra remonter le temps, et, quelques marches pour faire un détour du côté du stand de la librairie Galerie Congo pour découvrir deux plumes congolaises qui y seront en dédicaces de 13 h à 17h avec Les morceaux d’un rêve publié aux éditions Hémar pour Sylvia Djouon Bokoko et Lukenzo et les mystères de la forêt du Congo pour Makila Nsika. J’ai déjà le captivant roman de Guy Alexandre Sounda Les confessions d’une sardine sans tête.
Last but not least, il me sera impossible de quitter la rue de Suffren sans avoir pris le pouls de l’atelier animé par Alpha Mobé, auteure, éditrice de Mukazali, qui se trouve être également une femme inspirante 2016 de notre chère Kiminou Caroline. Une occasion d’aller à la Découverte de cinq langues africaines, le lingala, le swahili, le kikongo, le tshiluba et le lari.
Vous pouvez télécharger le flyer de Evénement à ce lien UNESCO LIRE AFRIQUE
Quel programme mes aïeuls ! J’en trépigne d’avance de plaisir. Et vous, qu’avez-vous de prévu les 23 et 24 avril ? Serons-nous aux mêmes Evénements ? Hummm…. Si tel devait être le cas, faites moi un petit signe de façon assez ostentatoire, car malgré mes binocles, je suis une lunaire qui ne regarde (presque) jamais autour d’elle ; sachant cela, il serait dommage de se manquer, n’est ce pas ?
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com