Si inspirer est un verbe qui peut prêter à interprétation, féliciter troisième mission  de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine ne laisse place à aucun doute sur son rôle.

Pour moi féliciter, être félicitée relèvent de la normalité si tenter que cette dernière côtoie le quotidien voire l’ordinaire.  En effet, bien que je sois le produit d’une éducation stricte, et plutôt protocolaire, j’ai été élevée dans une atmosphère bienveillante avec une grande liberté de penser et d’agir. Dans le cercle premier familial, comme dans le second scolaire, mes initiatives ont toujours été encouragées par les personnes que j’aimais ou que j’admirais. C’est tout naturellement que j’ai toujours reproduis ce modèle dans chaque projet, défi ou aventure.

Lorsque je parle de féliciter dans le cadre de la contribution, il s'agit bel et bien d’admiration pour le chemin, l’audace, la persévérance ou simplement l’initiative de faire ce premier pas, celui qui entraîne tous les autres. Click To Tweet

Je crois à la force et l’énergie que procurent de sincères congratulations. Le faire comprendre est une chose, le mettre en pratique et en faire une habitude en est une autre. Deux types de personnes m’étonnent toujours autant, d’un côté ceux qui ne savent recevoir ni compliments, ni félicitations et de l’autre ceux qui mangeraient un rat plutôt que de reconnaître et congratuler le talent d’autrui. C’est hallucinant de voir des personnes ayant si peu d’estime, de confiance et d’amour de soi qu’elles s’entourent de courtisan.e.s assez médiocres pour ne pas leur faire d’ombre, plutôt que d’améliorer leurs “games”. SIC !

En même temps, il n’y a rien de neuf sous le soleil, le pari sur l’avenir que je fais est celui de faire en sorte, qu’il soit naturel pour la future génération de femmes africaines “en chemin” de se féliciter avec bienveillance.  Un défi comme je les affectionne, il semble perdu d’avance et pourtant, pierre par pierre, un pas après l’autre, il est réalisable.