Oyé! Oyé! C’est la fin de la semaine ont vous dévoile enfin le visage de la FEMME DE L’ANNÉE “🎀OCTOBRE ROSE 2018” de PanAfrica Woman Glam’S Ship le cercle de femmes leadership entrepreneures et glamour de Cannes et d’ailleurs.
Cette année nous lui décerneront le 🎀RUBAN ROSE du 🎀”MOIS OCTOBRE” Panafrica Woman Glam’S Ship en guise de soutien pour ces multiples combats nobles et en particulier celui de la lutte contre le cancer du sein car nous sommes tous concernées.
Le mois Octobre ” Rose ” le mois le plus important contre la lutte du cancer !
Matou la main sur le cœur dans l’univers des réseaux sociaux au Sénégal, Matou Marthe Mariane DIOGO on la surnomme « Mère Thérésa », tant il est difficile de voir se dérouler une seule action sociale sans elle.
Des problèmes des enfants malades démunis aux talibés à ceux des adultes malades en difficulté (malades par exemple) en passant par sa participation aux activités de la Ligue Sénégalaise de lutte contre le Cancer, Matou est sur tous les fronts avec comme seule arme : le cœur.
Elle est pourtant loin d’être physiquement imposante. Du haut de son mètre 70, elle affiche pourtant une grande présence rassurante au bénéfice de toutes les personnes qui croisent son chemin.
A 50 ans, elle exerce au sein d’une structure de Recouvrement de la place comme Secrétaire Chargée des Moratoires. A croire que même dans son travail, Matou privilégie le social, l’interaction, l’aide à l’autre en difficulté.
Coordonnatrice de l’Association « Solidarité Ak Yaw » depuis 06 ans au sein de laquelle elle déroule avec une équipe de choc et un bureau dont les membres sont hyper actifs ses activités sociales comme les dons de fournitures, la prise en charge d’enfants dans les pouponnières etc.
Très souvent, sur ses différents réseaux, vous pourrez voir cette mère de trois (3) enfants, poster des demandes d’aide au profit d’une organisation ou d’un individu. Le social, elle ne vit que pour cela.
Il s’agit pour elle, en payant les ordonnances à d’aucuns, en aidant des personnes atteintes de maladies graves dans leur prise en charge, de remplir son taux d’utilité sociale, de servir sa nation.
L’humilité en bandoulière, Matou répète à qui veut l’entendre : « Je ne suis personne pour qu’on compte sur moi » et rajoute aussi « je ne le fais pas pour la gloire » et pourtant, un seul appel de sa part, fait réagir plusieurs citoyens à la fois. Bien que se refusant le titre d’influenceur, elle l’est pourtant grâce à l’impact de ses appels.
Tout ce travail abattu depuis plusieurs années, lui vaut des distinctions qu’elle reçoit avec beaucoup d’humilité, preuve de sa grandeur d’âme.
Synthétiser Marthe Mariane Dacougna Diogo, revient à dire : « La main sur le cœur pour les autres » et donner tout son sens à l’assertion du fondateur du scoutisme Badden Powell dont son Papa Emmanuel DACOUGNA fut un des Fondateurs au Sénégal. Badden disait ceci : « Je n’existe que dans la mesure où j’existe pour autrui : à la limite, être, c’est aimer ». Matou EST car Matou AIME sans aucune distinction de race, de culture ou de religion.
🎀🎀🎀 une forte pensée à tous ceux et celles qui souffrent de cette foutu maladie🎀🎀🎀
En marge de mon travail dans la fonction publique hospitalière, j’alterne entre différentes casquettes. Depuis 2014 vice-présidente, chargée de communication @Habitat SEN 06 coopérative immobilière. En 2017 récipiendaire du prix Leadership féminin @journées d’été Diaspora Africaine en France ; responsable développement projet @Money Diaspora, promoteur du premier salon de l’immobilier Africain en France. En 2018, initiatrice du challenge JIFA avec @Panafrica Woman Glam’s Ship, le Cercle des femmes panafricaines glamour et Leadearship de Cannes et d’ailleurs. Pour rejoindre l’aventure envoyez un mail à :contactpanafricawomen@gmail.com
Graca Bailhache Je suis tres tres honorée par cette consécration par vous. Merci de valoriser nos petits efforts…bravo à vous pour le travail que vous abattez pour la promotion de la femme
Dame Marthe,
Merci infiniment à vous pour toutes ces actions que vous menez inlassablement. Vos encouragements me vont droit au cœur. Mais comme on dit par chez moi “Un seul doigt ne lave pas la figure”, je sais gré à Aida Diop car sans son initiative, je serais sans doute passée à côté de nombreuses découvertes et actions à encourager. Dans l’attente d’échanger plus avant avec vous, bonne continuation !