Si notre troisième mot d’ordre est FÉLICITER, le dernier leitmotiv ajouter lors de l’édition 2017 de la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine est d’ENCOURAGER. Quelle en est l’origine, pourquoi et comment je l’envisage ?
L’origine : pour l’inspiration, c’est encore à Aoua Keita que je dois la première, puisque j’ai puisé dans son parcours, lorsque jeune sage femme affectée à Gao, elle encouragea les femmes rurales à se réunir, s’organiser et se motiver pour aller voter et lutter contre les oppressions dont elles étaient victimes. La seconde impulsion est plus personnelle, puisque Madieta était ma grand-mère maternelle, qui à une moindre échelle contribua à changer le destin de femmes rurales, sans parler du modèle qu’elle fut pour ses filles et l’influence considérable qu’elle a toujours sur moi.
Pourquoi ? : Encourager les porteuses de projets de 18 à 25 ans à se lancer, les accompagner pour qu’elle passe de l’idée à la réalisation en sachant qu’elles auront 31 marraines disposées à prodiguer leurs conseils.
Ce projet me trottait dans la tête depuis l’édition 2017, n’ayant pu le mettre en place comme je le souhaitais, une muse m’a d’abord soufflé le thème de de l’édition 2018 Entre innovation et vision, puis elle m’a suggéré le déploiement du prix Aoua Keita-Madieta des boss ladies.
C’est un chantier à suivre pour 2019 !
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Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com