Puisqu’il fallait bien commencer et le faire un peu avant la fête de la musique, je me suis lancée et vous pouvez voir mes réponses à cet article, aujourd’hui j’en appelle à la benjamine Aidel Bonsengue Ebendé une petite pousse qui est sur le chemin et que je vous ai présenté dans la série 3 questions, 1 fille de l’équipe. A son tour de nous faire voyager en musique. Le postulat de départ était de répondre à 5 questions et partager ses goûts musicaux au féminin, pour participer à une mise en avant de nos artistes en herbe ou plus connues. Ce qui fait la force des aventures comme la contribution digitale à la Journée Internationale de la Femme Africaine c’est la diversité de profils et la richesse que cela procure. Par exemple, avec Aidel toute la musique qu’elle aime est d’un seul genre musical, qu’à cela ne tienne, il n’y aura qu’une artiste mise en avant, c’est mieux que rien. Voici les questions du postulat de départ donnes nous une chanson à écouter au réveil ou pour méditer ? Une chanson pour transpirer en mode zumba ? Une chanson pour un moment en mode je fais mes soins ? Une chanson pour un moment romantique ? Une chanson de tous les temps que tu peux écouter n’importe quand juste parce que tu l’aimes?
Voici les réponses d’Aidel : En ce qui concerne la musique, je n’écoute que de la musique religieuse, et plus particulièrement du gospel mais puisque nous parlons ici, de la femme africaine, il y a une artiste que j’écoute très souvent, car dès la petite enfance, on m’avait déjà montré le chemin de la prière, C’est ma grand-mère qui a été mon éducatrice spirituelle et puis c’est par elle que j’ai connu cette artiste, également par mes frères de l’église. Lorsque j’avais 10 ans, je l’écoutais pour écouter , car en fin de compte je priais parce qu’on m’avait éduqué de cette manière, mais je n’avais pas encore eu des expériences par moi même et puis c’est en grandissant et en dépassant certaines étapes, que j’ai su. Aujourd’hui lorsque j’écoute ces chansons, ce n’est plus pour le plaisir, mais pour le message que cela porte, le message sur le fait que la femme est celle qui bâtie sa maison, pas seulement en le tenant propre mais par la prière, le message sur la foi, l’espérance, le combat contre l’adversité même quand on est dans des moments difficiles. J’écoute ces chansons quand je suis triste, car ça me redonne le sourire, ça me fait réfléchir, quand je fait le ménage, certaines d’entre elles, car je rend gloire à Dieu, je fait ma louange, je souris et ça m’apaise et me fait du bien, mais aussi pour méditer et pour réfléchir et cela m’aide aussi à garder une partie de mes origines avec moi car c’est chanter en lingala.
L’or Bongo est une chanteuse religieuse congolaise et mère de famille qui rend gloire à Dieu à travers la musique, c’est également l’une des femmes influentes aujourd’hui si je puis dire dans mon pays, c’est par le fait de rendre gloire à Dieu par le chant et voici quelques unes de ses chansons que j’écoute beaucoup :
Nzambe ya makambu ya minene : Le Dieu des grandes choses !
Mayi na Miso na Ngai : Mes Pleurs
Na Ngomba : Sur la Montagne !
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com