Après la conversation avec dame Fleur Nana Mengue, voici venu le moment de conclure avec la benjamine de la contribution digitale à la Journée Internationale de la femme Africaine. Afin de brasser le passé, le présent et le futur, nous avons coupé la poire en deux pour ce qui concerne le thème de la Transmission avec d’un côté ce que l’on nous a transmis et de l’autre ce que nous aimerions transmettre.
Dans cet entretien, nous allons visité les héritages de mademoiselle Tchonté Silué…
1/ Parlons de l’aspect physique : à quelle figure féminine familiale ressemblez-vous ?
Je ressemble physiquement à ma mère.
2/ Et pour ce qui est des traits de caractère : quel est celui que vous avez en commun avec la femme qui vous a élevé!
Je ne me suis jamais vraiment posée la question… Je pense que ma mère est du genre à dire automatiquement à quelqu’un lorsqu’elle lui en veut. Un peu comme elle, j’ai du mal à garder pour moi ce que je reproche aux autres. On parlerait sans doute de franchise…
3/ Passons aux habitudes : de quelle femme tenez-vous cette manie, cette routine qui vous accompagne aujourd’hui encore ?
Toujours ma mère, c’est la femme avec qui j’ai passé le plus de temps. L’habitude de changer de voix lorsqu’on raconte des faits pour imiter les personnes présentes.
4/ Moins agréable maintenant : quel héritage indésirable supprimeriez tout de suite si vous le pouviez!
Ça serait peut être le fait d’avoir une vue toute pourrie. Mes deux parents portent des lunettes. Ma mère et sa mère ont toutes deux subies des opérations. Ma grand-mère pour ses yeux et ma mère pour ses paupières. Je supprimerai bien mon problème d’yeux si je le pouvais mais sinon j’espère ne pas avoir à subir une intervention chirurgicale un jour..
5/ Pour finir, y’a t-il un héritage auquel nous n’avons pas pensé mais que vous souhaitez évoqué ?
J’ai l’habitude de dire que c’est mon père qui m’achetait souvent des livres quand j’étais plus jeune et que j’ai toujours été plus proche de lui mais c’est surtout parce que ma mère m’avait fait le résumé d’un livre en particulier. Je pense que je tiens beaucoup plus d’elle que je l’imagine parfois. Elle lisait moins à une époque mais maintenant je lui donne presque tout le temps des bouquins à dévorer et je pense que je tiens sans doute mon amour pour la lecture d’elle. Et comme moi elle adore raconter les histoires qu’elle découvre dans les livres.
Merci pour cette charmante causerie Tchonté. C’est avec un soupçon de nostalgie, que je ferme la série de ces entretiens. En même temps, ce n’est pas tout à fait terminé encore chers lecteurs adorés. Eh vouih…. Quand il n’y en a plus, il y’en a encore et c’est prévu pour le le 31 juillet 2017 sur son blog Les chroniques de Tchonte.
Mais enfin, bien sûr que vous en serez avertis par un article sur notre blog avant. Pfff ! A qui croyez-vous avoir à faire ? Rien n’est trop beau pour nos fidèles lecteurs voyons. SouRIRES ! Ceci étant dit, vous pouvez partager vos impressions ou poser des questions, les commentaires sont à votre entière disposition.
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com