Liss Kihindou originaire du Congo-Brazzaville est écrivaine, critique littéraire et blogueuse.
A son actif en tant qu’auteur : Recueil de Nouvelles J’espère (Amalthée 2005) et Détonations et Folie (L’Harmattan 2007), un essai L’Expression du métissage dans la littérature africaine, (L’Harmattan 2011), Chêne de bambou, un roman publié aux éditions Anibwé en 2019, La Morsure du Soleil, un recueil de poèmes (L’Harmattan 2014), un essai Négritude, fleuvitude. Et autres observations littéraires (L’Harmattan 2016), un livre illustré pour la jeunesse Mwanana : La petite fille qui parlait aux animaux (L’Harmattan 2016) et l’ultime essai Des migrations au métissage suivi de L’image de la femme à travers 25 auteurs d’Afrique. (L’Harmattan 2018)
A son actif en collaborations : un texte dans Sous mes paupières extérieures vie, recueil de nouvelles du collectif Palabres autour des arts, (L’Harmattan 2014), une nouvelle dans le recueil collectif des femmes écrivaines du Congo Sirène des sables, (L’Harmattan 2014) , ainsi qu’un poème en hommage à Patrice Lumumba dans le recueil collectif Ce soir quand tu verras Patrice, publié en 2015 aux éditions Panafrika/Silex/Nouvelles du Sud.
Où la trouver ? : sur le blog Valets des livres.
Voici les réponses de Liss Kihindou aux questions posées et comme je vous le disais dans l’article précédent concernant la vidéo, la brièveté et le format ne permettaient pas de placer tout cela. Aussi n’avais je d’autres choix que de ne conserver que la synthèse.
* Une phrase, citation, adage qui te caractérise en tant que femme africaine
Parole qui se trouve dans la Bible, livre des Proverbes, chapitre 8, verset 11. “Car la sagesse vaut mieux que les perles, elle a plus de valeur que tous les objets de prix.”
* Le nom d’une femme africaine en dehors de ta famille (avec son pays d’origine ) qui est une source d’inspiration
Une femme africaine pour laquelle j’ai une grande admiration : Joséphine Missakidi, non parce que c’est ma mère mais parce que sa vie est un témoignage de bonté : elle ne sait faire que le bien, sa générosité, sa propension à pardonner, son courage face à l’adversité, sa vaillance au travail et sa foi inébranlable me ravissent chaque année davantage. Plus je prends de l’âge et plus je mesure la chance de l’avoir pour maman.
Il y a des femmes d’Afrique que j’apprécie, notamment pour la qualité de leur écriture, comme Léonora Miano ou Fatou Diome, mais c’est en tant qu’écrivaines que je les apprécie, je ne sais pas ce qu’elles sont dans la vie de tous les jours, je ne les connais que dans l’intimité de leurs textes. Tandis que ma mère, en privé comme en public est une femme à laquelle j’aimerais tant ressembler, mais je suis loin d’avoir ses ressources !
Dernière mise à jour : 19 juin 2019
Entrepreneure sociale et solidaire avec @assosolos en qualité de guide en marketing & communication pour solopreneurs & associations. Chez moi, violon d’Ingres et engagements forment un couple parfait notamment dans ce quatuor : Coordinatrice de la contribution digitale à la JIFA @www.journeefemmeafricaine.com, lectrice compulsive avec le comité @Festivalpremierromanchambery, citoyenne engagée avec le conseil de quartier @Democratieparticipativechambery et membre de la communauté web de Savoie @chambéCarnet. Pour m’écrire formulaire de contact ou grace.bailhache@gmail.com