La série “Trois question, 1 fille” est un clin d’œil à la date du 31 Juillet, une autre façon de vous permettre d’en savoir un peu plus sur les filles de la dream team 2016. Aujourd’hui place à la benjamine du groupe Aidel Bonsenge Ebendé une véritable boule d’énergie, une fonceuse qui a le courage des timides. Il y’a bien quelques années que j’ai découvert Aidel sur You Tube, c’était alors une adolescente qui faisait des vidéos assez variées et qui tentaient de ne pas simplement copiée les consorts d’outre atlantique. Depuis elle a pris un nouveau départ, effacé toutes ses vidéos, crée un nouveau blog, bref, quelque chose s’est passé qui l’a fait grandir plus vite et je suis heureuse de l’avoir à bord de l’édition 2016 de la contribution digitale de la Journée Internationale de la femme Africaine, parce que pour moi la valeur n’attend pas le nombre des années, et Aidel a des projets, des ambitions qui mériteraient d’être encourager et accompagner autant que faire se peut.

Avant que nous n’en sachions un peu plus sur ses racines africaines, sa reine de cœur, et sa femme inspirante, laissons Aidel se présenter en quelques mots:

Je Suis Aidel Bonsenge Ebende, j’ai 18 Ans , je suis née le 11 février 1998 et je suis originaire du Congo. Au mois d’avril, je célèbre mes 4 Ans, en tant bloggueuse. Et oui cela fait 4 ans que cette aventure a commencé, je tiens un blog qui s’appelle actuellement AIDEL ON THE GO, Si l’on devait le traduire ce serait Aidel sur le chemin .. Mais je suis également youtubbeuse, je tiens 2 chaines YouTube, une principale AIDELYTURE et l’autre secondaire AIDEL, ou je parle de différents sujets, selon mon inspiration, mais je suis une snippeuse bien dans sa peau, j’ai également une page instagram : Aidelyture et une page twitter :@Aidelchan / Aidel on the Go !

1/ Quelles sont tes racines africaines 

Je suis congolaise d’origine de kinshasa et du côté de mon père je suis mungala car mon père est 50% Mungala et muswayili, contrairement à ma mère qui elle est du Bandundu. Ce sont des tribus dans notre pays le Congo, l’enfant prend donc ses origines en fonction de la tribu de ses parents, comme ici en France : la personne peut se dire être français d’origine mais être lyonnais : c’est exactement le cas pour Nous ! Nous avons également, des dialectes, des langues de tribus: des langues de nos ancêtres comme on le dit très souvent, mais malheureusement, je ne sais pas le parler, je comprends très rapidement certaines choses, mais pas tout et l’un de mes objectifs à l’avenir serait d’apprendre à parler couramment au moins une langue, car cela fait partie de moi et de mon histoire !

2/ Quelle est la femme africaine connue passé ou présente qui t’inspire ou t’a inspiré?

Lupita N’yongo est l’une des femmes africaines qui m’inspirent, car elle reste fidèle a elle même , elle n’oublie ses origines même en ayant une certaines notoriété, le fait d’être égérie des marques comme L’Oréal, ne fait pas d’elle, une femme audacieuse ou encore superficielle, mais elle garde la source.

3/ Présentes moi ta reine de cœur africaine

Jeanine Mabunda est une femme politique de la République démocratique du Congo elle défend la cause de la violence sexuelles faites aux femmes au côté du président joseph kabila Kabange. Elle a fait partie des gouvernements Gizenga et Muzito au poste de ministre du Portefeuille du 5 février 2007 au 6 avril 2012. Mabunda a été directrice du Fonds de promotion de l’industrie (FPI) du pays. Avec une licence en droit de l’université catholique de Louvain et une licence spéciales en Sciences commerciales de l’Institut catholique des hautes études commerciales (ICHEC) de Bruxelles, Jeanine Mabunda L. Mudiayi démarre sa carrière professionnelle en 1988 à la Citibank Congo comme account officer, chargée des relations avec les grands comptes et analyste crédit. De 1993 à 1995, elle supervise la direction commerciale de African System (ASYST). De 1997 à 2000, elle est conseillère au cabinet du gouverneur de la Banque centrale du Congo (BCC) et participe, à ce titre, aux négociations trimestrielles FMI/Banque mondiale et BCC à Washington et Paris. En 2002, elle est nommée administratrice-déléguée générale (ADG) du Fonds de promotion de l’industrie (FPI). Au cours de ce mandat de cinq ans, le FPI se dote d’un nouveau siège social sur fonds propres et poursuit une politique salariale de paiement régulier des salaires. Elle obtient aussi l’augmentation des interventions du FPI en faveur des entreprises, l’amélioration du taux de recouvrement des prêts, la réduction du déficit.

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