La première particularité de la contribution digitale à la Journée internationale de la Femme Africaine tient au fait que dès la première contribution en 2014, Grace Bailhache a souhaité mettre en lumière des femmes africaines de talent qui créent, entreprennent et dont les activités influent de manière positive sur les autres, et, que l'on ne voit que trop rarement dans les médias généralistes qui se cantonne à une image statique et majoritairement non valorisante des femmes africaines. Aussi, dès le départ, pour Grace Bailhache contribuer à la JIFA c'était avoir la possibilité de montrer les 1001 visages de la femme africaine à travers les inspiratrices, et de l'autre les reines de cœur.
Pour ne parler que des reines de cœur, le critère de choix d'une reine n'a rien à voir avec la notoriété, l'âge ou le domaine d'activité. Une reine de cœur dans le cadre de la JIFA c'est une femme africaine dont on suit le travail, que l'on admire, avec laquelle éventuellement on souhaiterait collaborer ou que l'on souhaiterait mieux connaitre. Pendant les deux premières contributions, et par défaut, Grace Bailhache a été seule à couronner des reines de cœur, cela impliquait de les contacter, de les interviewer afin de les présenter le 31 juillet. La tentative de 2015 n'ayant pas été concluante, pour l'édition 2016, l'équipe a été mise à contribution sans la partie contact et entretien, ainsi chaque membre de la dream Team a été invitée à présenter sa reine de cœur. Ainsi, la troisième édition aura ses sept reines, six reines de cœur et une reine des reines, cette dernière étant la reine couronnée qui contactée par la coordinatrice Grace Bailhache a accepté l'invitation et répondu à tous les entretiens.